La rencontre a surtout mis en évidence les limites d’un registre devenu trop lisible, incapable de tirer pleinement profit de la richesse individuelle dont regorge l’effectif national. Certes, la possession a été marocaine et les situations offensives n’ont pas manqué, mais l’ensemble a cruellement manqué de profondeur, de tranchant et d’efficacité dans les zones décisives.
Plus préoccupant encore, le second acte a exposé une fragilité dans l’équilibre collectif et une gestion approximative des temps forts et des moments clés du match. Les ajustements opérés depuis le banc n’ont pas inversé la dynamique, et l’obstination à s’appuyer sur des éléments manifestement en manque de rythme ou de repères pose question, dans une compétition continentale disputée à domicile et qui exige clarté dans les choix et fermeté dans les décisions.
La première place au classement, purement comptable, ne saurait masquer la réalité des prestations ni rassurer un public en attente d’un Onze national plus audacieux, plus renouvelé et plus inspiré. Car à ce stade, le rêve africain des Lions de l’Atlas semble moins menacé par la qualité des adversaires que par des choix techniques qui tardent à convaincre.
Plus préoccupant encore, le second acte a exposé une fragilité dans l’équilibre collectif et une gestion approximative des temps forts et des moments clés du match. Les ajustements opérés depuis le banc n’ont pas inversé la dynamique, et l’obstination à s’appuyer sur des éléments manifestement en manque de rythme ou de repères pose question, dans une compétition continentale disputée à domicile et qui exige clarté dans les choix et fermeté dans les décisions.
La première place au classement, purement comptable, ne saurait masquer la réalité des prestations ni rassurer un public en attente d’un Onze national plus audacieux, plus renouvelé et plus inspiré. Car à ce stade, le rêve africain des Lions de l’Atlas semble moins menacé par la qualité des adversaires que par des choix techniques qui tardent à convaincre.























