Intervenant, lundi, à la Chambre des représentants, le ministre l'Inclusion Économique, de la Petite Entreprise, de l'Emploi et des Compétences, Younes Sekkouri a affirmé que près de 1, 5 million de Marocains sont des Neet, c'est-à-dire soit des personnes qui ne sont ni dans une situation d’emploi, ni de formation.
Au regard du ministre, l’insertion socioprofessionnelle de cette catégorie passe, d’abord et avant tout, par son intégration dans des instituts de formation professionnelle de haut niveau. S’exprimant sur l’attrait pour les instituts publics de formation, il a souligné que 644 000 stagiaires sont en formation professionnelle à l’heure actuelle, dont 26 % sont dans le secteur privé.
Le Maroc compte, poursuit-il, 1 288 établissements de formation professionnelle privés, qui ont accueilli environ 100 000 stagiaires en 2023. Le nombre d'instituts accrédités est de 463 établissements, sauf que la situation actuelle exige, selon lui, d’accréditer plus d’instituts pour répondre à la demande en formation professionnelle.
En parallèle à cela, le département de tutelle alloue 25 millions de dirhams pour soutenir les personnes démunies désirant poursuivre leur formation professionnelle dans le secteur privé.
Le ministre a, par ailleurs, rappelé l’importance des instituts de formation créés dans le cadre du partenariat entre les secteurs public et privé. Lesquels ont permis, selon Sekkouri, de réaliser des résultats très positifs en matière d’insertion professionnelle.
Au regard du ministre, l’insertion socioprofessionnelle de cette catégorie passe, d’abord et avant tout, par son intégration dans des instituts de formation professionnelle de haut niveau. S’exprimant sur l’attrait pour les instituts publics de formation, il a souligné que 644 000 stagiaires sont en formation professionnelle à l’heure actuelle, dont 26 % sont dans le secteur privé.
Le Maroc compte, poursuit-il, 1 288 établissements de formation professionnelle privés, qui ont accueilli environ 100 000 stagiaires en 2023. Le nombre d'instituts accrédités est de 463 établissements, sauf que la situation actuelle exige, selon lui, d’accréditer plus d’instituts pour répondre à la demande en formation professionnelle.
En parallèle à cela, le département de tutelle alloue 25 millions de dirhams pour soutenir les personnes démunies désirant poursuivre leur formation professionnelle dans le secteur privé.
Le ministre a, par ailleurs, rappelé l’importance des instituts de formation créés dans le cadre du partenariat entre les secteurs public et privé. Lesquels ont permis, selon Sekkouri, de réaliser des résultats très positifs en matière d’insertion professionnelle.