Les usines visées sont celles de Zwickau et de Drest et sont dédiées entièrement à la production de voitures 100 % électriques.
Cet arrêt temporaire de la production se fera la semaine du 6 octobre, alors que l’usine d’Emden devrait réduire sa cadence.
« Nous adaptons ainsi notre programme de production à la situation du marché », a indiqué le groupe, qui doit faire face à une demande moins forte qu’escompté. Cela intervient alors que les ventes de véhicules électriques en Europe sont en hausse de 24,8 % depuis début 2025, soit 1.132.603 immatriculations, ce qui ne semble pas être assez pour les capacités en place.
Selon le premier constructeur européen, le marché automobile traverse une période de « grande incertitude » avec « le conflit douanier avec les États-Unis et le débat en Allemagne sur la sortie du moteur thermique ». Ces facteurs mis côte à côte « incitent les clients à hésiter avant d’acheter des véhicules électriques », insiste le porte-parole de la marque.
Volkswagen n’est pas le seul groupe touché par cette conjoncture, Stellantis annonçait déjà, il y a quelques jours, faire fermer six de ses usines pendant un temps, pour une durée cumulée de 62 jours.
Les sites concernés sont Poissy (France), Eisenach (Allemagne), Tichy (Pologne), Madrid et Saragosse (Espagne) et Pomigliano (Iatlie). Plus récemment, les usines de Sochaux et Mulhouse sont venues s’ajouter à cette liste.
Dans le même temps, Bosch, premier équipementier mondial, a annoncé la suppression de 13.000 postes supplémentaires, mettant en cause la faible demande pour les véhicules électriques.
Volkswagen prévoit, de son côté, la suppression de 35.000 emplois d’ici 2030, soit 29 % de ses effectifs en Allemagne. La firme ne mettra pas en place de licenciements économiques pour autant.
Cet arrêt temporaire de la production se fera la semaine du 6 octobre, alors que l’usine d’Emden devrait réduire sa cadence.
« Nous adaptons ainsi notre programme de production à la situation du marché », a indiqué le groupe, qui doit faire face à une demande moins forte qu’escompté. Cela intervient alors que les ventes de véhicules électriques en Europe sont en hausse de 24,8 % depuis début 2025, soit 1.132.603 immatriculations, ce qui ne semble pas être assez pour les capacités en place.
Selon le premier constructeur européen, le marché automobile traverse une période de « grande incertitude » avec « le conflit douanier avec les États-Unis et le débat en Allemagne sur la sortie du moteur thermique ». Ces facteurs mis côte à côte « incitent les clients à hésiter avant d’acheter des véhicules électriques », insiste le porte-parole de la marque.
Volkswagen n’est pas le seul groupe touché par cette conjoncture, Stellantis annonçait déjà, il y a quelques jours, faire fermer six de ses usines pendant un temps, pour une durée cumulée de 62 jours.
Les sites concernés sont Poissy (France), Eisenach (Allemagne), Tichy (Pologne), Madrid et Saragosse (Espagne) et Pomigliano (Iatlie). Plus récemment, les usines de Sochaux et Mulhouse sont venues s’ajouter à cette liste.
Dans le même temps, Bosch, premier équipementier mondial, a annoncé la suppression de 13.000 postes supplémentaires, mettant en cause la faible demande pour les véhicules électriques.
Volkswagen prévoit, de son côté, la suppression de 35.000 emplois d’ici 2030, soit 29 % de ses effectifs en Allemagne. La firme ne mettra pas en place de licenciements économiques pour autant.
