La transpiration est un phénomène naturel. Les glandes sudoripares qui se trouvent sur la surface du corps, notamment au niveau des aisselles (mais également des pieds et des mains) permettent à la sueur d’être évacuée. Comment moins transpirer ? C’est la question que l’on se pose en été plus qu’à n’importe quel moment de l’année. Et même si la transpiration fait partie de notre quotidien, entre odeur, auréoles sur les vêtements etc. la transpiration peut vite devenir gênante.
Dans les faits, impossible de forcer son corps à ne pas transpirer. Le phénomène est physiologique, l’organisme a besoin de suer pour réguler sa température et éliminer ses déchets. En moyenne, « nous évacuons un litre, voire un litre et demi d’eau chaque jour, nuit incluse », selon la pharmacienne et docteur en pharmacie, Zahi Aicha. S’il est impossible d’obliger son corps à ne pas suer, reste que l’on peut l’aider à moins le faire.
Les clefs pour aider le corps à moins transpirer
La marche à suivre diffère selon les cas de figure. Le premier, disons le plus commun, concerne les « transpirants » qui souhaitent agir ponctuellement. « Ici on peut agir sur les facteurs qui augmentent la transpiration. On évite donc les matières synthétiques. De plus, plus les vêtements sont amples, moins ils frottent la peau et moins le système de thermorégulation se met en route », indique la pharmacienne. On lève aussi le pied sur les excitants, type café, thé et alcool. « Ces substances un peu épicées sont vasodilatatrices et contribuent à l’hyperstimulation du système de thermorégulation
», explique Dr Zahi. Il existe également des accessoires à placer sous les aisselles pour absorber la transpiration, ponctuellement.
Le deuxième cas de figure concerne les personnes au taux de transpiration anormalement élevé, à tel point qu’elles s’en trouvent gênées au quotidien. On parle ici d’hyperhydrose, « c’est-à-dire que la transpiration est soudaine et inexpliquée », précise Aicha Zahi. Dans ce cas, il faut consulter un professionnel de santé adéquat pour traiter la cause du souci.
Les « antitranspirants »
On les appelle aussi « antiperspirants ». Quand les déodorants masquent les odeurs en les remplaçant par des parfums, les antitranspirants, eux, agissent à la racine pour diminuer la sueur. « Composés de sels d’aluminium, ils obstruent le canal des glandes », détaille la spécialiste. Avant de se ruer dessus en pharmacie, il convient de les utiliser correctement et de respecter la règle des trois S. « On l’utilise uniquement le soir, sur peau sèche et saine, c’est-à-dire sans boutons et sans microcoupures dues à une épilation », souligne Dr Zahi. Le produit est à utiliser deux à trois fois par semaine maximum, et est contrindiqué chez la femme enceinte et allaitante ainsi que chez l’enfant.
Dans les faits, impossible de forcer son corps à ne pas transpirer. Le phénomène est physiologique, l’organisme a besoin de suer pour réguler sa température et éliminer ses déchets. En moyenne, « nous évacuons un litre, voire un litre et demi d’eau chaque jour, nuit incluse », selon la pharmacienne et docteur en pharmacie, Zahi Aicha. S’il est impossible d’obliger son corps à ne pas suer, reste que l’on peut l’aider à moins le faire.
Les clefs pour aider le corps à moins transpirer
La marche à suivre diffère selon les cas de figure. Le premier, disons le plus commun, concerne les « transpirants » qui souhaitent agir ponctuellement. « Ici on peut agir sur les facteurs qui augmentent la transpiration. On évite donc les matières synthétiques. De plus, plus les vêtements sont amples, moins ils frottent la peau et moins le système de thermorégulation se met en route », indique la pharmacienne. On lève aussi le pied sur les excitants, type café, thé et alcool. « Ces substances un peu épicées sont vasodilatatrices et contribuent à l’hyperstimulation du système de thermorégulation
», explique Dr Zahi. Il existe également des accessoires à placer sous les aisselles pour absorber la transpiration, ponctuellement.
Le deuxième cas de figure concerne les personnes au taux de transpiration anormalement élevé, à tel point qu’elles s’en trouvent gênées au quotidien. On parle ici d’hyperhydrose, « c’est-à-dire que la transpiration est soudaine et inexpliquée », précise Aicha Zahi. Dans ce cas, il faut consulter un professionnel de santé adéquat pour traiter la cause du souci.
Les « antitranspirants »
On les appelle aussi « antiperspirants ». Quand les déodorants masquent les odeurs en les remplaçant par des parfums, les antitranspirants, eux, agissent à la racine pour diminuer la sueur. « Composés de sels d’aluminium, ils obstruent le canal des glandes », détaille la spécialiste. Avant de se ruer dessus en pharmacie, il convient de les utiliser correctement et de respecter la règle des trois S. « On l’utilise uniquement le soir, sur peau sèche et saine, c’est-à-dire sans boutons et sans microcoupures dues à une épilation », souligne Dr Zahi. Le produit est à utiliser deux à trois fois par semaine maximum, et est contrindiqué chez la femme enceinte et allaitante ainsi que chez l’enfant.