Ce rendez-vous professionnel, qui connaît la participation d'experts nationaux et internationaux, ainsi que des acteurs gouvernementaux et des représentants du secteur des industries de santé, aborde les perspectives et les défis liés à la mise en œuvre de l’évaluation des technologies de la santé dans le système de santé marocain et africain.
S'exprimant à cette occasion, le président de la Société Marocaine de l'Économie des Produits de Santé (SMEPS), Samir Ahid, nous a indiqué que cette rencontre se tient au moment où le Maroc connaît la mise en œuvre du grand chantier de généralisation de la protection sociale, conformément aux Hautes Directives Royales.
Évoquant la thématique de cette édition, M. Ahid a fait savoir que l’évaluation des technologies de santé représente un processus essentiel pour évaluer les programmes, les services et les produits de santé et garantir une bonne gouvernance notamment en ce qui concerne les ressources financières dans le domaine de la santé.
“L'intégration de cette évaluation dans la stratégie de financement de la santé, pilotée par le ministère de la Santé et de la Protection Sociale, témoigne de son importance et des enjeux qu'elle représente pour une gestion optimale des ressources”, a-t-il précisé.
Pour sa part, le chef de division de la planification et des études au ministère de la Santé et de la Protection sociale, Abdelilah Mernissi, a mis en avant l'importance de la thématique choisie pour cette édition, d'autant plus qu'elle se tient à un moment crucial où le Royaume connait le lancement de nombreuses réformes dans le secteur de la santé.
Dans ce sens, M. Mernissi a souligné le rôle du ministère de la Santé et de la Protection Sociale dans l’accompagnement de ce chantier, en développant une vision de refonte globale du système de santé pour bâtir un système solide et résilient capable de répondre aux besoins de la société.
Le ministère de la Santé et de la Protection Sociale a développé une stratégie nationale de financement de la santé, en se basant sur les principales recommandations de la Conférence nationale sur le financement de la santé, qui s’est tenue en 2019, a-t-il fait savoir.
De son côté, Mustapha Aboumaarouf, conseiller du ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, a mis en exergue l’importance de la tenue de ce congrès, une occasion pour les acteurs dans les domaines de la santé d'échanger sur les thématiques d'actualité et de discuter des moyens à même d'améliorer l'accès aux soins, du financement et des politiques de santé au Maroc et en Afrique.
“Pour répondre à ces défis, il est crucial de s'appuyer sur des politiques de santé fondées sur des données probantes et des technologies de pointe”, a-t-il estimé, soutenant que l'évaluation des technologies de la santé est un outil essentiel pour aider les décideurs politiques et les professionnels de la santé à prendre des décisions relatives aux investissements en matière de santé.
Pour sa part, Catherine Mourain, professeur de droit et Economie de la santé, a souligné que : « ce 9ème congrès porte plusieurs nouveautés, notamment la multiplication des perspectives, le métissage des idées, et puis les échanges des expériences »
S'exprimant à cette occasion, le président de la Société Marocaine de l'Économie des Produits de Santé (SMEPS), Samir Ahid, nous a indiqué que cette rencontre se tient au moment où le Maroc connaît la mise en œuvre du grand chantier de généralisation de la protection sociale, conformément aux Hautes Directives Royales.
Évoquant la thématique de cette édition, M. Ahid a fait savoir que l’évaluation des technologies de santé représente un processus essentiel pour évaluer les programmes, les services et les produits de santé et garantir une bonne gouvernance notamment en ce qui concerne les ressources financières dans le domaine de la santé.
“L'intégration de cette évaluation dans la stratégie de financement de la santé, pilotée par le ministère de la Santé et de la Protection Sociale, témoigne de son importance et des enjeux qu'elle représente pour une gestion optimale des ressources”, a-t-il précisé.
Pour sa part, le chef de division de la planification et des études au ministère de la Santé et de la Protection sociale, Abdelilah Mernissi, a mis en avant l'importance de la thématique choisie pour cette édition, d'autant plus qu'elle se tient à un moment crucial où le Royaume connait le lancement de nombreuses réformes dans le secteur de la santé.
Dans ce sens, M. Mernissi a souligné le rôle du ministère de la Santé et de la Protection Sociale dans l’accompagnement de ce chantier, en développant une vision de refonte globale du système de santé pour bâtir un système solide et résilient capable de répondre aux besoins de la société.
Le ministère de la Santé et de la Protection Sociale a développé une stratégie nationale de financement de la santé, en se basant sur les principales recommandations de la Conférence nationale sur le financement de la santé, qui s’est tenue en 2019, a-t-il fait savoir.
De son côté, Mustapha Aboumaarouf, conseiller du ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, a mis en exergue l’importance de la tenue de ce congrès, une occasion pour les acteurs dans les domaines de la santé d'échanger sur les thématiques d'actualité et de discuter des moyens à même d'améliorer l'accès aux soins, du financement et des politiques de santé au Maroc et en Afrique.
“Pour répondre à ces défis, il est crucial de s'appuyer sur des politiques de santé fondées sur des données probantes et des technologies de pointe”, a-t-il estimé, soutenant que l'évaluation des technologies de la santé est un outil essentiel pour aider les décideurs politiques et les professionnels de la santé à prendre des décisions relatives aux investissements en matière de santé.
Pour sa part, Catherine Mourain, professeur de droit et Economie de la santé, a souligné que : « ce 9ème congrès porte plusieurs nouveautés, notamment la multiplication des perspectives, le métissage des idées, et puis les échanges des expériences »
