
Après des mois de retenue et de tentatives désespérées de négociation, le président français Emmanuel Macron, à bout de patience, a fini par prendre la plume pour adresser une lettre à son Premier ministre, François Bayrou, lui demandant d’adopter un ton plus ferme à l’égard de l’Algérie.
Parmi l’ensemble des mesures de rétorsion suggérées par le chef de l’État français, figure un appel formel à suspendre l’accord de 2013 avec Alger “concernant les exemptions de visa pour les passeports officiels et diplomatiques”.
En clair, l’ensemble du personnel diplomatique algérien doit désormais solliciter un visa pour entrer sur le territoire français. Une mesure qui concerne potentiellement plusieurs milliers de personnes, en incluant non seulement les fonctionnaires, mais aussi leurs familles et les proches bénéficiant de passe-droits leur permettant de circuler librement entre les deux pays.
Cette crise trouve son origine dans la décision du président Macron, en juillet 2024, d’adresser une lettre à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, affirmant qu’il “considère que le présent et l’avenir du Sahara s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine”, suivie d’une visite officielle en grande pompe en octobre de la même année. Des gestes qui ont plongé le régime algérien dans un accès de fureur.
Parmi ces réactions hystériques, la prise en otage, d’abord, de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, puis, plus récemment, du journaliste sportif français Christophe Gleizes. Au lieu de faire reculer le pouvoir français sur sa reconnaissance de la marocanité du Sahara, ces décisions n’ont fait que susciter l’indignation d’une large partie de l’opinion publique française et inciter le gouvernement à adopter une position encore plus ferme.
Parmi ces réactions hystériques, la prise en otage, d’abord, de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, puis, plus récemment, du journaliste sportif français Christophe Gleizes. Au lieu de faire reculer le pouvoir français sur sa reconnaissance de la marocanité du Sahara, ces décisions n’ont fait que susciter l’indignation d’une large partie de l’opinion publique française et inciter le gouvernement à adopter une position encore plus ferme.
Alors que la dictature algérienne s’agite en vain pour enrayer le cours de l’Histoire qui mène inéluctablement vers une résolution définitive du dossier du Sahara en faveur du Maroc, Sa Majesté le Roi, malgré le ton agressif adopté par Alger, a laissé une porte de sortie honorable au régime des généreaux, en appelant à des négociations directes “sans vainqueur ni vaincu”.
Tebboune, ses parrains et ses pantins finiront-ils par sortir de ces affrontements stériles contre le reste du monde pour envisager enfin une solution raisonnable ? Car, avec ou sans leur consentement, une seule issue demeure : reconnaître cette vérité immuable, le Sahara est marocain.
Parmi l’ensemble des mesures de rétorsion suggérées par le chef de l’État français, figure un appel formel à suspendre l’accord de 2013 avec Alger “concernant les exemptions de visa pour les passeports officiels et diplomatiques”.
En clair, l’ensemble du personnel diplomatique algérien doit désormais solliciter un visa pour entrer sur le territoire français. Une mesure qui concerne potentiellement plusieurs milliers de personnes, en incluant non seulement les fonctionnaires, mais aussi leurs familles et les proches bénéficiant de passe-droits leur permettant de circuler librement entre les deux pays.
Cette crise trouve son origine dans la décision du président Macron, en juillet 2024, d’adresser une lettre à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, affirmant qu’il “considère que le présent et l’avenir du Sahara s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine”, suivie d’une visite officielle en grande pompe en octobre de la même année. Des gestes qui ont plongé le régime algérien dans un accès de fureur.
Parmi ces réactions hystériques, la prise en otage, d’abord, de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, puis, plus récemment, du journaliste sportif français Christophe Gleizes. Au lieu de faire reculer le pouvoir français sur sa reconnaissance de la marocanité du Sahara, ces décisions n’ont fait que susciter l’indignation d’une large partie de l’opinion publique française et inciter le gouvernement à adopter une position encore plus ferme.
Parmi ces réactions hystériques, la prise en otage, d’abord, de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, puis, plus récemment, du journaliste sportif français Christophe Gleizes. Au lieu de faire reculer le pouvoir français sur sa reconnaissance de la marocanité du Sahara, ces décisions n’ont fait que susciter l’indignation d’une large partie de l’opinion publique française et inciter le gouvernement à adopter une position encore plus ferme.
Alors que la dictature algérienne s’agite en vain pour enrayer le cours de l’Histoire qui mène inéluctablement vers une résolution définitive du dossier du Sahara en faveur du Maroc, Sa Majesté le Roi, malgré le ton agressif adopté par Alger, a laissé une porte de sortie honorable au régime des généreaux, en appelant à des négociations directes “sans vainqueur ni vaincu”.
Tebboune, ses parrains et ses pantins finiront-ils par sortir de ces affrontements stériles contre le reste du monde pour envisager enfin une solution raisonnable ? Car, avec ou sans leur consentement, une seule issue demeure : reconnaître cette vérité immuable, le Sahara est marocain.