Entre les transports collectifs (bus, tramway, RER…) et les VTC, les taxis doivent désormais trouver leur niche. Près de 180.000 chauffeurs sont concernés, pour un parc estimé à environ 77.200 véhicules, dont 44.650 taxis de première catégorie (grands taxis) et 32.550 taxis de deuxième catégorie (petits taxis).
C’est pour cela que le ministère de l’Intérieur a lancé une vaste étude couvrant l’ensemble du territoire national, afin d’identifier les pistes de réforme du système des taxis susceptibles d’en assurer la pérennité. Il pourrait s’agir, par exemple, du regroupement des taxis en entreprises, du développement de nouveaux services ou encore de la digitalisation.
Il ne faut pas oublier que les grands taxis jouent un rôle social essentiel dans la connexion des zones les plus reculées du Royaume. Car, si l’État a consenti des efforts considérables ces dernières années pour doter les grandes et moyennes villes de réseaux de bus modernes, ce n’est pas le cas des petites villes et des villages.
Les grands taxis, tout comme le transport routier mixte, sont ainsi les vaisseaux sanguins qui irriguent le territoire marocain, à travers pistes, routes montagneuses et chemins escarpés. Le programme de renouvellement des taxis a permis de disposer d’une flotte plus moderne et plus écologique. Celle-ci pourrait toutefois être mieux organisée, en la professionnalisant davantage ou en imposant des normes de sécurité plus strictes.
Quant aux petits taxis, des opportunités existent. Certains pays ont, par exemple, mis en place des conventions avec des collectifs de taxis afin d’assurer le transport des malades, des personnes à mobilité réduite ou des personnes âgées, avec un remboursement de ces prestations.
Une réforme participative et mûrement réfléchie ne peut être que bénéfique pour sortir le secteur du malaise dans lequel il se trouve actuellement.
C’est pour cela que le ministère de l’Intérieur a lancé une vaste étude couvrant l’ensemble du territoire national, afin d’identifier les pistes de réforme du système des taxis susceptibles d’en assurer la pérennité. Il pourrait s’agir, par exemple, du regroupement des taxis en entreprises, du développement de nouveaux services ou encore de la digitalisation.
Il ne faut pas oublier que les grands taxis jouent un rôle social essentiel dans la connexion des zones les plus reculées du Royaume. Car, si l’État a consenti des efforts considérables ces dernières années pour doter les grandes et moyennes villes de réseaux de bus modernes, ce n’est pas le cas des petites villes et des villages.
Les grands taxis, tout comme le transport routier mixte, sont ainsi les vaisseaux sanguins qui irriguent le territoire marocain, à travers pistes, routes montagneuses et chemins escarpés. Le programme de renouvellement des taxis a permis de disposer d’une flotte plus moderne et plus écologique. Celle-ci pourrait toutefois être mieux organisée, en la professionnalisant davantage ou en imposant des normes de sécurité plus strictes.
Quant aux petits taxis, des opportunités existent. Certains pays ont, par exemple, mis en place des conventions avec des collectifs de taxis afin d’assurer le transport des malades, des personnes à mobilité réduite ou des personnes âgées, avec un remboursement de ces prestations.
Une réforme participative et mûrement réfléchie ne peut être que bénéfique pour sortir le secteur du malaise dans lequel il se trouve actuellement.






















