Depuis avril, les revenus publicitaires de Facebook et Snapchat ont diminué à cause d’une nouvelle mise à jour qui permet à l’utilisateur de ne pas accepter d’être suivi en installant l’application (App Tracking Transparency ou ATT). Cette nouvelle fonctionnalité touche les réseaux sociaux, en premier lieu, qui se basent, économiquement, sur la publicité et les données recueillies sur les utilisateurs.
Selon une enquête de Financial Times, le manque à gagner pour Facebook, Snapchat, YouTube et Twitter s’élève à plus de 9 milliards de francs suisses, depuis juillet. Il faut bien noter que Snapchat était la première application impactée vu sa chute de 25% le 21 octobre. En plus de cette perte, l’entreprise est poursuivie aux Etats-Unis par un actionnaire qui estime que Snapchat lui a caché la réelle portée de la nouvelle fonctionnalité d’Apple et que les dirigeants ont surestimé leur capacité à s’adapter.
Si le marché de la publicité numérique a touché le système Apple, sa nouvelle politique a profité à google d’une partie des annonces publicitaires qui sont passées vers le système d’exploitation et le moteur d’Android. Afin de s’en sortir, les réseaux sociaux ont décidé d’essayer de nouvelles sources de revenus, en pensant à la monétisation sur internet à travers des abonnements ; des films, des vidéos et de la musique.
Dans ce sens, il faut citer l’exemple de Twitter qui vient de lancer son abonnement « premium », nommé Twitter Blue aux Etats-Unis, au Canada, en Nouvelle-Zélande et en Australie. Un abonnement qui permet de prévisualiser les tweets, d’annuler un envoi dans les 30 secondes, des icônes personnalisables ou encore un mode lecture optimisé, pour 2,99 dollars par mois.
Après Twitter, Facebook à son tour permet à ses utilisateurs d’avoir un contenu exclusif, des interactions ou des badges sur une page avec un système de rémunération qui a fait le succès de la plate-forme Twitch (Amazon), des abonnements de « fans » qu’Instagram devrait suivre d’ici la fin de l’année.
Facebook présente une autre forme de revenus : les groupes sur Facebook qui permettent de collecter de l’argent pour les administrateurs et les modérateurs afin de les soutenir. Sans oublier les sous-groupes payants créés, ainsi que les boutiques pour vendre des objets à la communauté sur les groupes.
En pleine crise de réputation, Facebook augmente ses revenus plus qu’attendu malgré la campagne de presse négative à laquelle il fait face avec un chiffre d’affaires de 29 milliards de dollars. Malgré la dernière mise à jour du système d’exploitation de l’iPhone, qui donne plus de contrôle aux utilisateurs sur leurs données confidentielles, ce réseau arrive à atteindre ses objectifs grâce aux nouveaux investissements.
Selon une enquête de Financial Times, le manque à gagner pour Facebook, Snapchat, YouTube et Twitter s’élève à plus de 9 milliards de francs suisses, depuis juillet. Il faut bien noter que Snapchat était la première application impactée vu sa chute de 25% le 21 octobre. En plus de cette perte, l’entreprise est poursuivie aux Etats-Unis par un actionnaire qui estime que Snapchat lui a caché la réelle portée de la nouvelle fonctionnalité d’Apple et que les dirigeants ont surestimé leur capacité à s’adapter.
Si le marché de la publicité numérique a touché le système Apple, sa nouvelle politique a profité à google d’une partie des annonces publicitaires qui sont passées vers le système d’exploitation et le moteur d’Android. Afin de s’en sortir, les réseaux sociaux ont décidé d’essayer de nouvelles sources de revenus, en pensant à la monétisation sur internet à travers des abonnements ; des films, des vidéos et de la musique.
Dans ce sens, il faut citer l’exemple de Twitter qui vient de lancer son abonnement « premium », nommé Twitter Blue aux Etats-Unis, au Canada, en Nouvelle-Zélande et en Australie. Un abonnement qui permet de prévisualiser les tweets, d’annuler un envoi dans les 30 secondes, des icônes personnalisables ou encore un mode lecture optimisé, pour 2,99 dollars par mois.
Après Twitter, Facebook à son tour permet à ses utilisateurs d’avoir un contenu exclusif, des interactions ou des badges sur une page avec un système de rémunération qui a fait le succès de la plate-forme Twitch (Amazon), des abonnements de « fans » qu’Instagram devrait suivre d’ici la fin de l’année.
Facebook présente une autre forme de revenus : les groupes sur Facebook qui permettent de collecter de l’argent pour les administrateurs et les modérateurs afin de les soutenir. Sans oublier les sous-groupes payants créés, ainsi que les boutiques pour vendre des objets à la communauté sur les groupes.
En pleine crise de réputation, Facebook augmente ses revenus plus qu’attendu malgré la campagne de presse négative à laquelle il fait face avec un chiffre d’affaires de 29 milliards de dollars. Malgré la dernière mise à jour du système d’exploitation de l’iPhone, qui donne plus de contrôle aux utilisateurs sur leurs données confidentielles, ce réseau arrive à atteindre ses objectifs grâce aux nouveaux investissements.