
Il y a à peine cinq ans, alors que les Forces Armées Royales menaient avec une précision exemplaire une opération décisive pour libérer la zone tampon d’El Guerguerat, face à un Polisario et son parrain algérien aux abois, nous avions, au fond de nous, la conviction que l’issue du conflit artificiel autour du Sahara se rapprochait. Mais nul n’aurait imaginé une évolution aussi rapide dans l’alignement de la communauté internationale en faveur de la cause nationale.
Des pays autrefois ennemis sont désormais des «amis»… Sur les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU, trois reconnaissent aujourd’hui la souveraineté du Maroc sur son Sahara… mais le plus saillant c’est le fait que le Sahara marocain, longtemps réduit à un objet de controverse politique et diplomatique, s’impose aujourd’hui comme un territoire suscitant un intérêt croissant dans les milieux économiques et d’affaires.
Car oui, si le Sahara marocain titille depuis des décennies l’appétit des opérateurs nationaux, attirés, entre autres, par la batterie des mesures incitatives en matière de financement et de fiscalité, mais animés également par un honorable élan patriotique, aujourd’hui, les investisseurs étrangers privés et les institutions financières internationales, de surcroît européennes, sont entrés en lice, preuve tangible de la stabilité de la région et de la confiance que le Maroc inspire désormais à ses partenaires.
Parallèlement, le régime algérien, à court d’options crédibles, enchaîne les bourdes diplomatiques, tandis que les milices du Polisario renouent avec leurs pratiques habituelles, visant à semer la terreur parmi les populations civiles. La dernière attaque en date, survenue à Smara le mois dernier, en pleine saison estivale, en est une illustration de plus. Cette nouvelle agression vient alourdir le passif déjà accablant d’un groupe dont les agissements s’apparentent de plus en plus à ceux d’une organisation terroriste, une dérive qui n’échappe plus aux radars du Congrès américain, qui passe actuellement au crible le projet de loi H.R. 4119, visant à classer le Polisario sur la liste noire, tout en lui imposant des sanctions.
C’est pour toutes ces raisons que le Portugal, à l’instar de la Macédoine du Nord avant lui, a exprimé son soutien au plan d’autonomie marocain. À mesure que le front des soutiens s’élargit et que la dynamique diplomatique s’intensifie, la résolution de ce dossier n’apparaît plus que comme une question de temps…
Des pays autrefois ennemis sont désormais des «amis»… Sur les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU, trois reconnaissent aujourd’hui la souveraineté du Maroc sur son Sahara… mais le plus saillant c’est le fait que le Sahara marocain, longtemps réduit à un objet de controverse politique et diplomatique, s’impose aujourd’hui comme un territoire suscitant un intérêt croissant dans les milieux économiques et d’affaires.
Car oui, si le Sahara marocain titille depuis des décennies l’appétit des opérateurs nationaux, attirés, entre autres, par la batterie des mesures incitatives en matière de financement et de fiscalité, mais animés également par un honorable élan patriotique, aujourd’hui, les investisseurs étrangers privés et les institutions financières internationales, de surcroît européennes, sont entrés en lice, preuve tangible de la stabilité de la région et de la confiance que le Maroc inspire désormais à ses partenaires.
Parallèlement, le régime algérien, à court d’options crédibles, enchaîne les bourdes diplomatiques, tandis que les milices du Polisario renouent avec leurs pratiques habituelles, visant à semer la terreur parmi les populations civiles. La dernière attaque en date, survenue à Smara le mois dernier, en pleine saison estivale, en est une illustration de plus. Cette nouvelle agression vient alourdir le passif déjà accablant d’un groupe dont les agissements s’apparentent de plus en plus à ceux d’une organisation terroriste, une dérive qui n’échappe plus aux radars du Congrès américain, qui passe actuellement au crible le projet de loi H.R. 4119, visant à classer le Polisario sur la liste noire, tout en lui imposant des sanctions.
C’est pour toutes ces raisons que le Portugal, à l’instar de la Macédoine du Nord avant lui, a exprimé son soutien au plan d’autonomie marocain. À mesure que le front des soutiens s’élargit et que la dynamique diplomatique s’intensifie, la résolution de ce dossier n’apparaît plus que comme une question de temps…