"La migration n’est pas un problème à gérer, mais un potentiel à libérer, une responsabilité à assumer, et une opportunité à saisir ensemble", a souligné M. Baraka lors d’une session placée sous le thème "citoyens, migrations et mobilité".
Car, a-t-il expliqué, comme l’a si justement rappelé Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Leader de l’Union Africaine sur la question migratoire, "la migration est – et doit rester – une expérience positive, un facteur de développement et de compréhension mutuelle".
Au lieu de la politisation et de l’instrumentalisation de la question migratoire qui affaiblissent la capacité à bâtir des solutions durables, le ministre a estimé que "l’Afrique et l’Europe gagnent à faire, ensemble, un choix différent : celui d’une transformation positive".
Selon lui, "il est temps que le Partenariat UA-UE rapproche ses engagements politiques de ses engagements financiers, et qu’il œuvre à l’ouverture de voies de mobilité régulière, plus fluides, plus sûres et réellement mutuellement avantageuses".
Pour concrétiser cette ambition, a-t-il poursuivi, le partenariat UA-UE doit renforcer son soutien aux structures continentales africaines, à commencer par l’Observatoire Africain des Migrations, basé à Rabat.
"Cet instrument qualitatif doit bénéficier d’un appui accru pour permettre à l’Afrique et à l’Europe de fonder leurs politiques sur la connaissance, l’anticipation et l’analyse", a relevé M. Baraka.
Le partenariat UA-UE doit, également, intensifier sa lutte contre les réseaux criminels, qui prospèrent sur la détresse humaine, a-t-il ajouté, précisant que "ces réseaux, souvent liés à des organisations terroristes ou séparatistes, contaminent les routes migratoires et menacent la stabilité de nos régions. La réponse doit être concertée, déterminée et multiforme".
En même temps, a-t-il fait remarquer, il faut élargir les voies légales de mobilité, notamment pour les étudiants, les chercheurs, les travailleurs qualifiés et les entrepreneurs, "en créant des cadres qui valorisent les compétences africaines au service de notre prospérité collective".
" Notre objectif commun doit être une jeunesse africaine qui accède à des opportunités locales concrètes, tout en bénéficiant, si elle le souhaite, d’une mobilité régulière et sécurisée", a encore souligné le ministre.
La mobilité régulière, a-t-il dit, doit s’inscrire dans une logique de partenariat gagnant-gagnant, au service de la réalisation de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, et des Objectifs de Développement Durable.
Lors de cette session portant sur "citoyens, migrations et mobilité", M. Baraka s’exprimait devant plusieurs dirigeants africains et européens, dont le Président du Conseil de l'UE, António Costa, et le Président de l'Angola, Joao Lourenço.
Car, a-t-il expliqué, comme l’a si justement rappelé Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Leader de l’Union Africaine sur la question migratoire, "la migration est – et doit rester – une expérience positive, un facteur de développement et de compréhension mutuelle".
Au lieu de la politisation et de l’instrumentalisation de la question migratoire qui affaiblissent la capacité à bâtir des solutions durables, le ministre a estimé que "l’Afrique et l’Europe gagnent à faire, ensemble, un choix différent : celui d’une transformation positive".
Selon lui, "il est temps que le Partenariat UA-UE rapproche ses engagements politiques de ses engagements financiers, et qu’il œuvre à l’ouverture de voies de mobilité régulière, plus fluides, plus sûres et réellement mutuellement avantageuses".
Pour concrétiser cette ambition, a-t-il poursuivi, le partenariat UA-UE doit renforcer son soutien aux structures continentales africaines, à commencer par l’Observatoire Africain des Migrations, basé à Rabat.
"Cet instrument qualitatif doit bénéficier d’un appui accru pour permettre à l’Afrique et à l’Europe de fonder leurs politiques sur la connaissance, l’anticipation et l’analyse", a relevé M. Baraka.
Le partenariat UA-UE doit, également, intensifier sa lutte contre les réseaux criminels, qui prospèrent sur la détresse humaine, a-t-il ajouté, précisant que "ces réseaux, souvent liés à des organisations terroristes ou séparatistes, contaminent les routes migratoires et menacent la stabilité de nos régions. La réponse doit être concertée, déterminée et multiforme".
En même temps, a-t-il fait remarquer, il faut élargir les voies légales de mobilité, notamment pour les étudiants, les chercheurs, les travailleurs qualifiés et les entrepreneurs, "en créant des cadres qui valorisent les compétences africaines au service de notre prospérité collective".
" Notre objectif commun doit être une jeunesse africaine qui accède à des opportunités locales concrètes, tout en bénéficiant, si elle le souhaite, d’une mobilité régulière et sécurisée", a encore souligné le ministre.
La mobilité régulière, a-t-il dit, doit s’inscrire dans une logique de partenariat gagnant-gagnant, au service de la réalisation de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, et des Objectifs de Développement Durable.
Lors de cette session portant sur "citoyens, migrations et mobilité", M. Baraka s’exprimait devant plusieurs dirigeants africains et européens, dont le Président du Conseil de l'UE, António Costa, et le Président de l'Angola, Joao Lourenço.





















