L’enquête a révélé que ce policier appartenait de l’Unité centrale des rapatriements (UCER). Affecté à Sebta en août 2021, il abusait de ses prérogatives de traitement des demandes d’asile.
Il aurait invité au moins quatre jeunes, y compris des Marocains, dans des hôtels et leur aurait exigé des relations sexuelles en échange d'accélérer le traitement de leurs demandes d’asile en Espagne. Un de ces victimes était mineur au moment des faits.
Selon la même source, le policier approchait des garçons dans la rue lors de ses déplacements à Sebta et à Las Palmas. Il leur offrait son aide pour faciliter leur régularisation. Puis, il leur donnait rendez-vous à l’hôtel, où ses invités restaient environ 45 minutes.
Toujours selon le journal espagnol, parmi ses victimes, un mineur a refusé les avances du prédateur tandis qu'un autre a dû se rendit quatre fois à l’hôtel par obligation plus que par consentement.
Les suspicions autour de l’agent sont apparues quand des employés du Ministère de l’Intérieur ont remarqué qu’il passait la nuit dans des hôtels différents de ceux où logeaient ses camarades policiers lors de leurs déplacements. Il choisissait toujours une chambre débouchant sur la sortie. Ces suspicions ont ensuite ont conduit à l'ouverture d'une enquête qui a abouti finalement à l’arrestation du coupable.
Il aurait invité au moins quatre jeunes, y compris des Marocains, dans des hôtels et leur aurait exigé des relations sexuelles en échange d'accélérer le traitement de leurs demandes d’asile en Espagne. Un de ces victimes était mineur au moment des faits.
Selon la même source, le policier approchait des garçons dans la rue lors de ses déplacements à Sebta et à Las Palmas. Il leur offrait son aide pour faciliter leur régularisation. Puis, il leur donnait rendez-vous à l’hôtel, où ses invités restaient environ 45 minutes.
Toujours selon le journal espagnol, parmi ses victimes, un mineur a refusé les avances du prédateur tandis qu'un autre a dû se rendit quatre fois à l’hôtel par obligation plus que par consentement.
Les suspicions autour de l’agent sont apparues quand des employés du Ministère de l’Intérieur ont remarqué qu’il passait la nuit dans des hôtels différents de ceux où logeaient ses camarades policiers lors de leurs déplacements. Il choisissait toujours une chambre débouchant sur la sortie. Ces suspicions ont ensuite ont conduit à l'ouverture d'une enquête qui a abouti finalement à l’arrestation du coupable.