La 67e Conférence Générale de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) qui s'est déroulée à Vienne a mis en lumière la reconnaissance internationale des compétences marocaines en science nucléaire. Trois doctorantes marocaines, formées au sein de l'Unité mixte de l'Université Ibn Tofail de Kénitra et du Centre national de l'énergie, des sciences et des techniques nucléaires (CNESTEN), ont été honorées lors d'un concours des étudiants africains sur les bénéfices des sciences nucléaires.
Ces étudiantes ont été primées lors d'une cérémonie organisée par le département de la coopération technique de l'AIEA, en présence du directeur général de l'Agence, Rafael Grossi, ainsi que de l'Ambassadeur représentant permanent du Maroc à Vienne, Azzeddine Farhane.
Les candidatures des doctorantes marocaines Issad Baddou, Meryem Lazrak et Kaoutar Benjeddou ont été sélectionnées en raison de leurs contributions significatives qui mettent en avant l'utilité des techniques nucléaires dans la prévention de l'obésité, la correction des carences en micronutriments, ainsi que l'étude des effets de l'allaitement maternel.
Les projets des chercheuses marocaines ont été choisis parmi plus de 200 candidatures d'étudiants, représentant 19 pays membres africains. Au final, les candidatures de neuf pays ont été retenues, à savoir le Maroc, le Kenya, le Ghana, le Bénin, l'Égypte, l'Afrique du Sud, le Nigeria, le Malawi et Madagascar.
Lors de cette cérémonie, le Directeur général de l'AIEA a adressé ses félicitations aux candidats africains sélectionnés, parmi lesquels figuraient les trois étudiantes marocaines qui ont été formées au Maroc dans divers domaines liés à l'application de la science et de la technologie nucléaires.
Cette reconnaissance s'inscrit dans le cadre des efforts du Maroc pour promouvoir la recherche et le développement scientifique dans des secteurs stratégiques, tout en renforçant les liens de coopération avec des institutions internationales telles que l'AIEA.
Ces étudiantes ont été primées lors d'une cérémonie organisée par le département de la coopération technique de l'AIEA, en présence du directeur général de l'Agence, Rafael Grossi, ainsi que de l'Ambassadeur représentant permanent du Maroc à Vienne, Azzeddine Farhane.
Les candidatures des doctorantes marocaines Issad Baddou, Meryem Lazrak et Kaoutar Benjeddou ont été sélectionnées en raison de leurs contributions significatives qui mettent en avant l'utilité des techniques nucléaires dans la prévention de l'obésité, la correction des carences en micronutriments, ainsi que l'étude des effets de l'allaitement maternel.
Les projets des chercheuses marocaines ont été choisis parmi plus de 200 candidatures d'étudiants, représentant 19 pays membres africains. Au final, les candidatures de neuf pays ont été retenues, à savoir le Maroc, le Kenya, le Ghana, le Bénin, l'Égypte, l'Afrique du Sud, le Nigeria, le Malawi et Madagascar.
Lors de cette cérémonie, le Directeur général de l'AIEA a adressé ses félicitations aux candidats africains sélectionnés, parmi lesquels figuraient les trois étudiantes marocaines qui ont été formées au Maroc dans divers domaines liés à l'application de la science et de la technologie nucléaires.
Cette reconnaissance s'inscrit dans le cadre des efforts du Maroc pour promouvoir la recherche et le développement scientifique dans des secteurs stratégiques, tout en renforçant les liens de coopération avec des institutions internationales telles que l'AIEA.