
À ceux qui tentaient encore de faire croire à un revirement de l’Administration américaine, la réponse est cinglante. À l’occasion de la Fête du Trône, le président des États-Unis d’Amérique, Donald J. Trump, a adressé un message à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dans lequel il a réaffirmé la reconnaissance par son pays de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, ainsi que le soutien au plan d’autonomie, comme «seule base pour un règlement juste et durable de ce différend”.
Ainsi, depuis le fameux tweet du 10 décembre 2020, la position américaine n’a pas changé d’un iota, y compris sous le mandat démocrate qui a suivi, douchant les espoirs des adversaires de notre intégrité territoriale, qui espéraient une volte-face. Avec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, le soutien de Washington s’est renforcé, laissant entrevoir un dénouement définitif pour ce dossier.
D’ailleurs, l’épisode actuel est particulièrement intense et pourrait bien marquer un tournant historique. En effet, trois événements se sont déroulés simultanément et convergent vers un même objectif. D’abord, la tournée maghrébine de Massad Boulos, Haut Conseiller du président américain pour l’Afrique, les Affaires arabes et le Moyen-Orient. Ce dernier a eu un tête-à-tête avec le président algérien Abdelmadjid Tebboune, sans doute pour lui signifier personnellement la volonté américaine de clore ce dossier.
Le lendemain, dans Son discours du Trône, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a tendu la main à l’Algérie, réaffirmant “la disposition du Maroc à un dialogue franc et responsable ; un dialogue fraternel et sincère portant sur les différentes questions en souffrance entre les deux pays”. En clair, un appel à des négociations directes pour résoudre ce différend.
Enfin, est arrivée la lettre du président Trump, dans laquelle il réaffirme le soutien indéfectible de son pays au Royaume et à son intégrité territoriale. L’ensemble de ces signaux montre clairement que les États-Unis, tout comme les autres grandes puissances telles que la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne ou encore l’Espagne, souhaitent clore définitivement ce dossier. Et ce, à travers des négociations directes entre Marocains et Algériens, un principe que ces derniers ont toujours refusé, en partant d'une base claire: le plan d’autonomie sous souveraineté marocaine.
Ainsi, depuis le fameux tweet du 10 décembre 2020, la position américaine n’a pas changé d’un iota, y compris sous le mandat démocrate qui a suivi, douchant les espoirs des adversaires de notre intégrité territoriale, qui espéraient une volte-face. Avec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, le soutien de Washington s’est renforcé, laissant entrevoir un dénouement définitif pour ce dossier.
D’ailleurs, l’épisode actuel est particulièrement intense et pourrait bien marquer un tournant historique. En effet, trois événements se sont déroulés simultanément et convergent vers un même objectif. D’abord, la tournée maghrébine de Massad Boulos, Haut Conseiller du président américain pour l’Afrique, les Affaires arabes et le Moyen-Orient. Ce dernier a eu un tête-à-tête avec le président algérien Abdelmadjid Tebboune, sans doute pour lui signifier personnellement la volonté américaine de clore ce dossier.
Le lendemain, dans Son discours du Trône, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a tendu la main à l’Algérie, réaffirmant “la disposition du Maroc à un dialogue franc et responsable ; un dialogue fraternel et sincère portant sur les différentes questions en souffrance entre les deux pays”. En clair, un appel à des négociations directes pour résoudre ce différend.
Enfin, est arrivée la lettre du président Trump, dans laquelle il réaffirme le soutien indéfectible de son pays au Royaume et à son intégrité territoriale. L’ensemble de ces signaux montre clairement que les États-Unis, tout comme les autres grandes puissances telles que la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne ou encore l’Espagne, souhaitent clore définitivement ce dossier. Et ce, à travers des négociations directes entre Marocains et Algériens, un principe que ces derniers ont toujours refusé, en partant d'une base claire: le plan d’autonomie sous souveraineté marocaine.