Interpellé par la députée suppléante Sevim Dagdelen, le gouvernement allemand a expliqué les raisons derrière sa prise de position en faveur du Maroc, devant le Parlement allemand. Dans un document d’une quinzaine de pages, publié ce mois de novembre, le gouvernement allemand a considéré que « le plan d’autonomie proposé par le Maroc est une bonne voie », précisant que le Royaume « a apporté une contribution importante avec son plan d’autonomie», à travers « une solution politique juste et acceptable pour toutes les parties dans le cadre des Nations Unies », explique le document.
Ce choix a été, en effet, réitéré par la ministre des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, lors de sa visite officielle, à Rabat, en août dernier, qui a déclaré, selon ledit document, qu’ « il est dans l’intérêt des deux parties de faire vivre et d’approfondir les relations bilatérales, historiquement bonnes et étroites».
Les observateurs font référence, à cet égard, entre autres aux « intérêts énergétiques » pour la simple raison que le Maroc représente une terre d’investissement pour l’Allemagne, notamment en matière d’hydrogène vert. « Il y a aussi la question des phosphates qui prennent de plus en plus d’importance vu la crise alimentaire du monde », explique Werner Ruf, professeur de relations internationales et retraité de l’université de Kassel, à la chaîne Deutsche Welle. Il souligne également l’importance du secteur de la pêche, étant donné que « les eaux territoriales du Sahara sont parmi les plus riches du monde et c’est une affaire énorme ».
Il convient de rappeler que le Maroc et l’Allemagne ont ouvert un nouveau chapitre, en août dernier, après plusieurs mois de tension au sujet du Sahara. Cette action a ouvert la voie vers une reprise de la coopération bilatérale dans plusieurs domaines, y compris les énergies renouvelables, la production de l’hydrogène vert, le changement climatique et la sécurité.
Cette coopération a été relancée également dans le domaine financier, la ministre de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah, et le directeur du Bureau de la KFW à Rabat, Markus Faschina, viennent de signer, mercredi 23 novembre, deux contrats de financement portant sur un prêt de 150 millions d’euros (M€) et un don de 15M€, accordés au Maroc au titre de la deuxième phase du « Projet appui aux réformes du système financier au Maroc », dédié au développement du secteur financier, notamment dans l’inclusion financière, les marchés des capitaux et la stabilité financière.
Ce choix a été, en effet, réitéré par la ministre des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, lors de sa visite officielle, à Rabat, en août dernier, qui a déclaré, selon ledit document, qu’ « il est dans l’intérêt des deux parties de faire vivre et d’approfondir les relations bilatérales, historiquement bonnes et étroites».
Les observateurs font référence, à cet égard, entre autres aux « intérêts énergétiques » pour la simple raison que le Maroc représente une terre d’investissement pour l’Allemagne, notamment en matière d’hydrogène vert. « Il y a aussi la question des phosphates qui prennent de plus en plus d’importance vu la crise alimentaire du monde », explique Werner Ruf, professeur de relations internationales et retraité de l’université de Kassel, à la chaîne Deutsche Welle. Il souligne également l’importance du secteur de la pêche, étant donné que « les eaux territoriales du Sahara sont parmi les plus riches du monde et c’est une affaire énorme ».
Il convient de rappeler que le Maroc et l’Allemagne ont ouvert un nouveau chapitre, en août dernier, après plusieurs mois de tension au sujet du Sahara. Cette action a ouvert la voie vers une reprise de la coopération bilatérale dans plusieurs domaines, y compris les énergies renouvelables, la production de l’hydrogène vert, le changement climatique et la sécurité.
Cette coopération a été relancée également dans le domaine financier, la ministre de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah, et le directeur du Bureau de la KFW à Rabat, Markus Faschina, viennent de signer, mercredi 23 novembre, deux contrats de financement portant sur un prêt de 150 millions d’euros (M€) et un don de 15M€, accordés au Maroc au titre de la deuxième phase du « Projet appui aux réformes du système financier au Maroc », dédié au développement du secteur financier, notamment dans l’inclusion financière, les marchés des capitaux et la stabilité financière.
