Une étude publiée récemment dans la revue Translational Psychology par des scientifiques israéliens montre que des produits à base de cannabis rendaient des souris autistes plus sociables et moins enclines aux comportements obsessionnels, indique un communiqué de l’université de Tel Aviv publié dimanche. Les résultats de l’étude pourraient modifier la manière dont le cannabis est utilisé dans le traitement des personnes souffrant d’autisme, expliquent les chercheurs.
Selon eux, c’est le mauvais composé du cannabis qui est actuellement utilisé pour soulager les souffrances des malades. Les chercheurs de l’université de Tel Aviv montrent que c’est le tetrahydrocannabinol (THC) administré sous forme d’huile de cannabis, et non le cannabidiol (CBD) habituellement utilisé, qui permettait d’obtenir des changements positifs et efficaces sur le long terme.
«Les études actuellement en cours, ne se concentrent pas assez sur les distinctions des différents composés du cannabis et le niveau d’efficacité de chacun d’eux à soulager les malades», déclare dans le communiqué Shani Poleg, qui a mené conjointement cette étude avec le Prof. Daniel Offen. Shani Poleg a toutefois tenu à rappeler que cette étude, bien qu’approuvée par d’autres équipes de recherche internationales, reste préliminaire et ne doit pas être considérée comme un conseil de traitement.
Selon eux, c’est le mauvais composé du cannabis qui est actuellement utilisé pour soulager les souffrances des malades. Les chercheurs de l’université de Tel Aviv montrent que c’est le tetrahydrocannabinol (THC) administré sous forme d’huile de cannabis, et non le cannabidiol (CBD) habituellement utilisé, qui permettait d’obtenir des changements positifs et efficaces sur le long terme.
«Les études actuellement en cours, ne se concentrent pas assez sur les distinctions des différents composés du cannabis et le niveau d’efficacité de chacun d’eux à soulager les malades», déclare dans le communiqué Shani Poleg, qui a mené conjointement cette étude avec le Prof. Daniel Offen. Shani Poleg a toutefois tenu à rappeler que cette étude, bien qu’approuvée par d’autres équipes de recherche internationales, reste préliminaire et ne doit pas être considérée comme un conseil de traitement.