Le basket tangérois est-il sur la bonne voie ? La ville est-elle bien représentée au championnat national ? Peut-on parler d’un avenir sûr et certain pour l’essor et l’épanouissement du sport de la balle orange à Tanger ?
Après la construction de plusieurs salles couvertes, les jeunes basketteurs pourront-ils s’affirmer d’autant plus que la Délégation des Sports a donné des encadreurs de marque considérés comme les meilleurs du pays : Rouass, Nizar, Essoud, Nour, Kajjaj, Naoufal considérés comme des experts en Afrique ?
Autant de questions auxquelles il faudrait répondre affirmativement.
Tanger, actuellement, dispose de deux grandes formations qui représentent l’élite du basket national : IRT et Majd occupant les premières places du championnat et se qualifiant au play-off pour disputer le titre auprès de AS Salé, FUS, WAC, FAR les meilleurs du pays.
D’un côté comme de l’autre, il existe la même politique : bâtir une équipe solide pour lancer le défi d’être championne du Maroc avec de nouvelles recrues pour renforcer l’effectif 2022-2023 avec l’engagement de joueurs américains ex universitaires NBA.
D’un côté comme de l’autre, à cause de la rivalité sportive, malheureusement, la politique des jeunes est négligée dans la mesure où les dirigeants visent loin, pourquoi pas une participation maghrébine ou africaine.
Comme l’ont déclaré, plusieurs membres des comités des deux clubs : « Il est difficile de faire deux choses à la fois : le titre et la formation ».
Dans chaque groupe, on retrouve deux grands présidents, des « mordus », des passionnés du basket, qui sont heureux avec la victoire de leurs poulains et malheureux avec la défaite.
En effet, l’IRT est dirigé par Abdeslam Chebaâ ex président de Majd Tanja, l’homme miracle, qui en quatre ans, a réussi l’impossible consistant à donner à la ville une deuxième équipe en division excellence de l’élite du basket marocain.
Pour des raisons peu claires, Majd Tanja, qui a réussi le maintien chez les grands, s’est séparé de son président démissionnaire.
Après la crise de gestion ayant secoué l’IRT, Abdeslam Chebaâ retourna au basket pour présider l’IRT après le départ de Boulaich et de Chemlal.
A la suite de son assemblée générale, Majd Tanja retrouva un autre nouveau président l’ex international basketteur Fahd Bahid élu à l’unanimité.
Que dire de ces présidents ?
A vrai dire, ils sont dignes de la confiance déposée en eux par les adhérents du club.
Abdeslam Chebaâ a de l’argent qu’il dépense « aveuglément » pour le sport qu’il aime.
Fahd Bahid a les idées qu’il faut pour diriger une équipe vue sa riche expérience d’ancien basketteur.
Ce qui est surprenant, c’est que le premier président est un pur « produit » de l’école de Majd Tanja et le deuxième est un « élève » de l’école de l’IRT.
Une bonne chance à l’IRT et à Majd Tanja à la phase finale du championnat et avec un peu plus de chance et de travail, le titre de champion de ligue ou de coupe pourrait revenir à Tanger.
Après la construction de plusieurs salles couvertes, les jeunes basketteurs pourront-ils s’affirmer d’autant plus que la Délégation des Sports a donné des encadreurs de marque considérés comme les meilleurs du pays : Rouass, Nizar, Essoud, Nour, Kajjaj, Naoufal considérés comme des experts en Afrique ?
Autant de questions auxquelles il faudrait répondre affirmativement.
Tanger, actuellement, dispose de deux grandes formations qui représentent l’élite du basket national : IRT et Majd occupant les premières places du championnat et se qualifiant au play-off pour disputer le titre auprès de AS Salé, FUS, WAC, FAR les meilleurs du pays.
D’un côté comme de l’autre, il existe la même politique : bâtir une équipe solide pour lancer le défi d’être championne du Maroc avec de nouvelles recrues pour renforcer l’effectif 2022-2023 avec l’engagement de joueurs américains ex universitaires NBA.
D’un côté comme de l’autre, à cause de la rivalité sportive, malheureusement, la politique des jeunes est négligée dans la mesure où les dirigeants visent loin, pourquoi pas une participation maghrébine ou africaine.
Comme l’ont déclaré, plusieurs membres des comités des deux clubs : « Il est difficile de faire deux choses à la fois : le titre et la formation ».
Dans chaque groupe, on retrouve deux grands présidents, des « mordus », des passionnés du basket, qui sont heureux avec la victoire de leurs poulains et malheureux avec la défaite.
En effet, l’IRT est dirigé par Abdeslam Chebaâ ex président de Majd Tanja, l’homme miracle, qui en quatre ans, a réussi l’impossible consistant à donner à la ville une deuxième équipe en division excellence de l’élite du basket marocain.
Pour des raisons peu claires, Majd Tanja, qui a réussi le maintien chez les grands, s’est séparé de son président démissionnaire.
Après la crise de gestion ayant secoué l’IRT, Abdeslam Chebaâ retourna au basket pour présider l’IRT après le départ de Boulaich et de Chemlal.
A la suite de son assemblée générale, Majd Tanja retrouva un autre nouveau président l’ex international basketteur Fahd Bahid élu à l’unanimité.
Que dire de ces présidents ?
A vrai dire, ils sont dignes de la confiance déposée en eux par les adhérents du club.
Abdeslam Chebaâ a de l’argent qu’il dépense « aveuglément » pour le sport qu’il aime.
Fahd Bahid a les idées qu’il faut pour diriger une équipe vue sa riche expérience d’ancien basketteur.
Ce qui est surprenant, c’est que le premier président est un pur « produit » de l’école de Majd Tanja et le deuxième est un « élève » de l’école de l’IRT.
Une bonne chance à l’IRT et à Majd Tanja à la phase finale du championnat et avec un peu plus de chance et de travail, le titre de champion de ligue ou de coupe pourrait revenir à Tanger.
