Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a présenté, ce lundi, devant les deux chambres du Parlement le détail du programme d'aide directe que l'Exécutif compte lancer avant la fin de l'année. Un programme dont le nombre de bénéficiaires a été élargi sous Hautes Instructions royales.
Dans son exposé, Aziz Akhannouch a fait savoir que les aides bénéficieront aux familles qui, jusque-là, n'ont pas bénéficié des allocations familiales. Pour rappel, 60% des familles n’en bénéficient pas.
Pour financer ce bouclier social dont le seuil minimum est fixé à 500 dirhams, le gouvernement aura besoin de 40 milliards de dirhams annuellement y compris l’enveloppe allouée à la généralisation de l’Assurance maladie obligatoire (AMO). 25 milliards seront alloués en 2024 avant d'augmenter ce budget à 29 milliards à l’horizon de 2026.
L’Exécutif compte puiser dans plusieurs sources, dont les recettes fiscales issues de la Contribution sociale de solidarité qui donneront 6 milliards de dirhams. Ce à quoi s’ajoutent 20 MMDH issus du budget de l’Etat sur les trois prochaines années et 9 MMDH émanant de la Caisse de Cohésion nationale.
En plus, le gouvernement compte économiser 15 MMDH en révoquant les anciens programmes sociaux jugés inefficaces.
L’Exécutif compte également tirer des économies à travers la réforme de la Caisse de Compensation, jugée indispensable sous prétexte que le budget de l’Etat est incapable de supporter à la fois les aides sociales et le subventionnement des prix des produits de première nécessité.
Selon le Chef du gouvernement, la décompensation se fera de manière progressive de 2024 à 2026. Toutefois, Aziz Akhannouch s’est montré rassurant en faisant savoir que le plan envisagé consiste seulement à plafonner les subventions et non pas la libération totale les prix des matières subventionnées. Rappelons que trois produits essentiels sont actuellement subventionnés par l’Etat, à savoir le blé tendre, le sucre et le gaz butane.
Dans son exposé, Aziz Akhannouch a fait savoir que les aides bénéficieront aux familles qui, jusque-là, n'ont pas bénéficié des allocations familiales. Pour rappel, 60% des familles n’en bénéficient pas.
Pour financer ce bouclier social dont le seuil minimum est fixé à 500 dirhams, le gouvernement aura besoin de 40 milliards de dirhams annuellement y compris l’enveloppe allouée à la généralisation de l’Assurance maladie obligatoire (AMO). 25 milliards seront alloués en 2024 avant d'augmenter ce budget à 29 milliards à l’horizon de 2026.
L’Exécutif compte puiser dans plusieurs sources, dont les recettes fiscales issues de la Contribution sociale de solidarité qui donneront 6 milliards de dirhams. Ce à quoi s’ajoutent 20 MMDH issus du budget de l’Etat sur les trois prochaines années et 9 MMDH émanant de la Caisse de Cohésion nationale.
En plus, le gouvernement compte économiser 15 MMDH en révoquant les anciens programmes sociaux jugés inefficaces.
L’Exécutif compte également tirer des économies à travers la réforme de la Caisse de Compensation, jugée indispensable sous prétexte que le budget de l’Etat est incapable de supporter à la fois les aides sociales et le subventionnement des prix des produits de première nécessité.
Selon le Chef du gouvernement, la décompensation se fera de manière progressive de 2024 à 2026. Toutefois, Aziz Akhannouch s’est montré rassurant en faisant savoir que le plan envisagé consiste seulement à plafonner les subventions et non pas la libération totale les prix des matières subventionnées. Rappelons que trois produits essentiels sont actuellement subventionnés par l’Etat, à savoir le blé tendre, le sucre et le gaz butane.