Après l'affrontement entre Mustapha Baitas et des groupes parlementaires de l’opposition qui ont refusé que le porte-parole du gouvernement prenne la parole à la Chambre des Représentants, le représentant gouvernemental remet les choses au clair.
“C’est un abus”, a déclaré Baitas, commentant la réaction des groupes parlementaires de l’opposition qui ont soutenu le PPS et ont refusé que le porte-parole du gouvernement prenne la parole lors des séances plénières des questions orales. Et d’ajouter que “le Parlement est un espace de discussion et d’évaluation des politiques publiques.
Le reproche fait au gouvernement de faire “la programmation des questions au gré de sa volonté et non pas en respect des demandes des groupes parlementaires n’est qu’une allégation”, souligne Baitas lors du point de presse hebdomadaire, en rappelant son rôle de porte-parole du gouvernement.
Rappelons que le groupe parlementaire du PPS s'est retiré de la séance des questions orales du lundi 28 novembre à la Chambre des Représentants. Son président Rachid Hamouni, reprochait au bureau de la première Chambre une mauvaise gestion des procédures de programmation concernant les questions soumises par les députés.
“C’est un abus”, a déclaré Baitas, commentant la réaction des groupes parlementaires de l’opposition qui ont soutenu le PPS et ont refusé que le porte-parole du gouvernement prenne la parole lors des séances plénières des questions orales. Et d’ajouter que “le Parlement est un espace de discussion et d’évaluation des politiques publiques.
Le reproche fait au gouvernement de faire “la programmation des questions au gré de sa volonté et non pas en respect des demandes des groupes parlementaires n’est qu’une allégation”, souligne Baitas lors du point de presse hebdomadaire, en rappelant son rôle de porte-parole du gouvernement.
Rappelons que le groupe parlementaire du PPS s'est retiré de la séance des questions orales du lundi 28 novembre à la Chambre des Représentants. Son président Rachid Hamouni, reprochait au bureau de la première Chambre une mauvaise gestion des procédures de programmation concernant les questions soumises par les députés.
