Aref Hammad, un porte-parole des habitants du quartier, a confirmé à la presse que les habitants du quartier rejettent tout règlement avec l'occupation qui porte atteinte à leurs droits.
Un communiqué publié par les habitants du quartier stipule le rejet « à l'unanimité du règlement proposé par le tribunal d'occupation, qui aurait fait de nous des locataires protégés de l'association de colons Nahalat Shimon et ouvrirait progressivement la voie à la confiscation de notre droit à notre terre".
Le communiqué ajoute : "Ce rejet découle de notre foi en la justice de notre cause et de notre droit à nos maisons et à notre patrie, malgré l'absence de garanties tangibles pour renforcer notre présence palestinienne à Al Qods occupée par aucune partie ou institution".
Le même communiqué précise que les tribunaux israéliens esquivent leur responsabilité de rendre la décision finale et obligent les résidents palestiniens à choisir entre le déplacement de leurs maisons ou la soumission à un accord injuste, « qui n'est rien d'autre qu'une extension des politiques coloniales visant à fragmenter la société de solidarité réalisée par le peuple palestinien dans le dernier cadeau".
Ils considéraient les tentatives israéliennes de « détourner l'attention du plus grand crime de nettoyage ethnique perpétré par l'occupation et ses colons ».
Les habitants imputent au gouvernement israélien « l'entière responsabilité, pour l’expropriation de leurs maisons, et porte la responsabilité en parallèle avec l'Autorité palestinienne, l'Office de secours et de travaux des Nations Unies (UNRWA) et le Royaume hachémite de Jordanie, qui a construit Sheikh Jarrah en tant que projet d'hébergement de réfugiés en 1956 et leur a donné le plein droit de posséder la terre ».
Rejet de la judaïsation de la ville d’Al Qods
Pour sa part, le Mufti de la mosquée Al-Aqsa, Cheikh Ikrima Sabri, a appelé les familles de Cheikh Jarrah à rejeter le règlement proposé par les autorités d'occupation.
Sabri a déclaré que le danger de cette colonie avec l’expropriation par l'occupant des terres de Cheikh Jarrah lui permettrait d'assiéger la mosquée Al-Aqsa du côté nord et de chercher à l'assiéger du côté sud, via le quartier de Silwan.
Il a ajouté que « toute mesure prise par l'occupation visant à judaïser la ville d’Al Qods est rejetée et ne peut être réalisable ».
Il a souligné que la Cour suprême, comme d'habitude, statue ou suggère toute décision ou proposition en faveur des groupes de colonisation, expliquant que « la conclusion pour l’occupant est que les familles de Sheikh Jarrah reconnaissent la propriété de la terre pour aux groupes juifs, et puis en retour, ils donnent aux familles d’Al Qods une protection en tant que locataires des maisons dans lesquelles elles résident, une protection qui sera caduque après la mort des parents ».
Un communiqué publié par les habitants du quartier stipule le rejet « à l'unanimité du règlement proposé par le tribunal d'occupation, qui aurait fait de nous des locataires protégés de l'association de colons Nahalat Shimon et ouvrirait progressivement la voie à la confiscation de notre droit à notre terre".
Le communiqué ajoute : "Ce rejet découle de notre foi en la justice de notre cause et de notre droit à nos maisons et à notre patrie, malgré l'absence de garanties tangibles pour renforcer notre présence palestinienne à Al Qods occupée par aucune partie ou institution".
Le même communiqué précise que les tribunaux israéliens esquivent leur responsabilité de rendre la décision finale et obligent les résidents palestiniens à choisir entre le déplacement de leurs maisons ou la soumission à un accord injuste, « qui n'est rien d'autre qu'une extension des politiques coloniales visant à fragmenter la société de solidarité réalisée par le peuple palestinien dans le dernier cadeau".
Ils considéraient les tentatives israéliennes de « détourner l'attention du plus grand crime de nettoyage ethnique perpétré par l'occupation et ses colons ».
Les habitants imputent au gouvernement israélien « l'entière responsabilité, pour l’expropriation de leurs maisons, et porte la responsabilité en parallèle avec l'Autorité palestinienne, l'Office de secours et de travaux des Nations Unies (UNRWA) et le Royaume hachémite de Jordanie, qui a construit Sheikh Jarrah en tant que projet d'hébergement de réfugiés en 1956 et leur a donné le plein droit de posséder la terre ».
Rejet de la judaïsation de la ville d’Al Qods
Pour sa part, le Mufti de la mosquée Al-Aqsa, Cheikh Ikrima Sabri, a appelé les familles de Cheikh Jarrah à rejeter le règlement proposé par les autorités d'occupation.
Sabri a déclaré que le danger de cette colonie avec l’expropriation par l'occupant des terres de Cheikh Jarrah lui permettrait d'assiéger la mosquée Al-Aqsa du côté nord et de chercher à l'assiéger du côté sud, via le quartier de Silwan.
Il a ajouté que « toute mesure prise par l'occupation visant à judaïser la ville d’Al Qods est rejetée et ne peut être réalisable ».
Il a souligné que la Cour suprême, comme d'habitude, statue ou suggère toute décision ou proposition en faveur des groupes de colonisation, expliquant que « la conclusion pour l’occupant est que les familles de Sheikh Jarrah reconnaissent la propriété de la terre pour aux groupes juifs, et puis en retour, ils donnent aux familles d’Al Qods une protection en tant que locataires des maisons dans lesquelles elles résident, une protection qui sera caduque après la mort des parents ».