"Un tir d'un drone israélien sur une voiture a tué ses trois occupants", a précisé le média d'Etat libanais.
L'armée israélienne a déclaré de son côté, dans un communiqué, avoir "frappé plusieurs [membres] du Hezbollah dans la région".
De son côté, l'armée libanaise a annoncé mardi le décès du sergent-chef Ali Abdullah, de la Brigade de soutien – Régiment antichar, tué lundi.
Le sergent-chef Ali Abdullah a été tué lors d'une frappe aérienne israélienne qui a ciblé le véhicule à bord duquel il circulait sur la route Quneitra-Maamariya-Sidón, dans le sud du Liban.
Trois personnes ont été tuées mardi lors d'une frappe de drone israélienne contre leur véhicule dans le district de Sidón, dans un contexte de violations répétées de la souveraineté libanaise par Israël.
Israël continue à mener régulièrement des frappes au Liban et affirme viser le mouvement islamiste soutenu par l'Iran, malgré un cessez-le-feu qui a mis fin le 27 novembre 2024 à plus d'un an d'hostilités, en marge de la guerre dans la bande de Gaza.
Israël maintient également des troupes dans cinq positions frontalières du sud du Liban qu'il estime stratégiques.
Sous forte pression américaine et par crainte d'une intensification des frappes israéliennes, le Liban s'est engagé, comme prévu par l'accord de cessez-le-feu, à désarmer le Hezbollah et à démanteler d'ici la fin de l'année toutes ses structures militaires entre la frontière israélienne et le fleuve Litani, à une trentaine de kilomètres plus au nord.
Israël a mis en doute l'efficacité de l'armée libanaise et accusé le Hezbollah de se réarmer, tandis que le mouvement chiite a rejeté les appels à abandonner ses armes.
Ces frappes interviennent après que des représentants civils d'Israël et du Liban, officiellement en état de guerre, se sont réunis vendredi, pour la deuxième fois depuis le début des réunions du comité de surveillance du cessez-le-feu, qui comprend également les Etats-Unis, la France et l'ONU.
L'Italie, par la voix de son ministre de la Défense Guido Crosetto en visite lundi à Beyrouth, a dit souhaiter maintenir sa présence militaire au Liban après le départ des Casques bleus de l'ONU (Finul), la force de maintien de la paix dans le sud, qui doit quitter le pays à partir du 31 décembre 2026.
Plus de 340 personnes ont été tuées par des tirs israéliens au Liban depuis le cessez-le-feu, selon un bilan de l'AFP basé sur les chiffres du ministère libanais de la Santé.
L'armée israélienne a déclaré de son côté, dans un communiqué, avoir "frappé plusieurs [membres] du Hezbollah dans la région".
De son côté, l'armée libanaise a annoncé mardi le décès du sergent-chef Ali Abdullah, de la Brigade de soutien – Régiment antichar, tué lundi.
Le sergent-chef Ali Abdullah a été tué lors d'une frappe aérienne israélienne qui a ciblé le véhicule à bord duquel il circulait sur la route Quneitra-Maamariya-Sidón, dans le sud du Liban.
Trois personnes ont été tuées mardi lors d'une frappe de drone israélienne contre leur véhicule dans le district de Sidón, dans un contexte de violations répétées de la souveraineté libanaise par Israël.
Israël continue à mener régulièrement des frappes au Liban et affirme viser le mouvement islamiste soutenu par l'Iran, malgré un cessez-le-feu qui a mis fin le 27 novembre 2024 à plus d'un an d'hostilités, en marge de la guerre dans la bande de Gaza.
Israël maintient également des troupes dans cinq positions frontalières du sud du Liban qu'il estime stratégiques.
Sous forte pression américaine et par crainte d'une intensification des frappes israéliennes, le Liban s'est engagé, comme prévu par l'accord de cessez-le-feu, à désarmer le Hezbollah et à démanteler d'ici la fin de l'année toutes ses structures militaires entre la frontière israélienne et le fleuve Litani, à une trentaine de kilomètres plus au nord.
Israël a mis en doute l'efficacité de l'armée libanaise et accusé le Hezbollah de se réarmer, tandis que le mouvement chiite a rejeté les appels à abandonner ses armes.
Ces frappes interviennent après que des représentants civils d'Israël et du Liban, officiellement en état de guerre, se sont réunis vendredi, pour la deuxième fois depuis le début des réunions du comité de surveillance du cessez-le-feu, qui comprend également les Etats-Unis, la France et l'ONU.
L'Italie, par la voix de son ministre de la Défense Guido Crosetto en visite lundi à Beyrouth, a dit souhaiter maintenir sa présence militaire au Liban après le départ des Casques bleus de l'ONU (Finul), la force de maintien de la paix dans le sud, qui doit quitter le pays à partir du 31 décembre 2026.
Plus de 340 personnes ont été tuées par des tirs israéliens au Liban depuis le cessez-le-feu, selon un bilan de l'AFP basé sur les chiffres du ministère libanais de la Santé.























