- Cet ouvrage a été présenté au salon de l’édition et du livre en juin 2023 ; quel en est le sujet?
- Il s’agit d’une reflexion sur bien être individuel et collectif en tant que quête. On pourrait épiloguer longuement sur la définition de bonheur en l’assimilant à un état de satisfaction permanente ou un sentiment de plénitude.Mais en définitive c’est un ressenti tout naturellement recherché par l'homme ; sachant que celui-ci n'a pas toujours prise sur certains facteurs qui conditionnent son bonheur.
- Quelle est la raison derrière l’écriture d’un tel ouvrage en ce moment ?
- C’est que nous assistons actuellement à ce que Amine Maalof appelait le “déréglement du monde“. Avec des perturbations économiques, politiques, sociales génératrices d’angoisse. L’homme est à la recherche de repères rassurants devant la déliquescence des valeurs, l’éclatement de la famille,la montée des extrêmismes, le phénomène d’exclusion, les fractures sociales,etc…
- N’est ce pas là un constat dressé par une multitude d’auteurs ?
- C’est exact, sauf que dans cet ouvrage, la recherche du bonheur est appréhendée conformément au principe de complexité d’Edgar Morin.Une telle approche permet d’éviter l’approche monodisciplinaire en croisant différentes dimensions :politiques, juridiques,économiques, culturelles, psychologiques…c’est ce qui explique la référence à une multitude de penseurs.
- A l’issue de tout ce travail de recherche et de réflexion ,quelles sont les conclusions que vous en tirez?
- La conclusion de l’ouvrage est à la fois porteuse d’espoir mais en même incitatrice à l’action. L’espoir est dans la capacité de l’homme à s’adapter à son environnement. En revanche,les concepteurs des politiques publiques sont invités à réviser le processus de socialisation qui forge le profil du citoyen, à valoriser le savoir et à mettre l’homme au centre de toutes les préoccupations.
- Il s’agit d’une reflexion sur bien être individuel et collectif en tant que quête. On pourrait épiloguer longuement sur la définition de bonheur en l’assimilant à un état de satisfaction permanente ou un sentiment de plénitude.Mais en définitive c’est un ressenti tout naturellement recherché par l'homme ; sachant que celui-ci n'a pas toujours prise sur certains facteurs qui conditionnent son bonheur.
- Quelle est la raison derrière l’écriture d’un tel ouvrage en ce moment ?
- C’est que nous assistons actuellement à ce que Amine Maalof appelait le “déréglement du monde“. Avec des perturbations économiques, politiques, sociales génératrices d’angoisse. L’homme est à la recherche de repères rassurants devant la déliquescence des valeurs, l’éclatement de la famille,la montée des extrêmismes, le phénomène d’exclusion, les fractures sociales,etc…
- N’est ce pas là un constat dressé par une multitude d’auteurs ?
- C’est exact, sauf que dans cet ouvrage, la recherche du bonheur est appréhendée conformément au principe de complexité d’Edgar Morin.Une telle approche permet d’éviter l’approche monodisciplinaire en croisant différentes dimensions :politiques, juridiques,économiques, culturelles, psychologiques…c’est ce qui explique la référence à une multitude de penseurs.
- A l’issue de tout ce travail de recherche et de réflexion ,quelles sont les conclusions que vous en tirez?
- La conclusion de l’ouvrage est à la fois porteuse d’espoir mais en même incitatrice à l’action. L’espoir est dans la capacité de l’homme à s’adapter à son environnement. En revanche,les concepteurs des politiques publiques sont invités à réviser le processus de socialisation qui forge le profil du citoyen, à valoriser le savoir et à mettre l’homme au centre de toutes les préoccupations.