Suite à un incident impliquant 84 migrants repoussés dans les eaux territoriales turques par la Grèce, l'ONU a souligné, lundi, l'importance de respecter la dignité des migrants.
"De notre point de vue, nous voulons simplement nous assurer que tous les États respectent la dignité et la sécurité de tous les migrants", a déclaré le porte-parole adjoint Farhan Haq, lors d'une conférence de presse.
Interrogé sur les violations du droit international par la Grèce, Farhan Haq a répondu que le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) se saisirait de la question.
Dimanche, les forces navales grecques ont repoussé 84 migrants irréguliers dans les eaux territoriales turques près d'Ayvacik. Le commandement du Groupe de la mer Égée du Nord du corps des garde-côtes turcs a mené une opération de sauvetage, ramenant les migrants sur le rivage.
Les groupes de défense des droits de l'Homme ont à maintes reprises condamné la pratique illégale de la Grèce consistant à repousser en mer les demandeurs d'asile, affirmant que cette pratique viole les valeurs humanitaires et le droit international en mettant en danger la vie des migrants vulnérables, notamment celle des femmes et des enfants.
"De notre point de vue, nous voulons simplement nous assurer que tous les États respectent la dignité et la sécurité de tous les migrants", a déclaré le porte-parole adjoint Farhan Haq, lors d'une conférence de presse.
Interrogé sur les violations du droit international par la Grèce, Farhan Haq a répondu que le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) se saisirait de la question.
Dimanche, les forces navales grecques ont repoussé 84 migrants irréguliers dans les eaux territoriales turques près d'Ayvacik. Le commandement du Groupe de la mer Égée du Nord du corps des garde-côtes turcs a mené une opération de sauvetage, ramenant les migrants sur le rivage.
Les groupes de défense des droits de l'Homme ont à maintes reprises condamné la pratique illégale de la Grèce consistant à repousser en mer les demandeurs d'asile, affirmant que cette pratique viole les valeurs humanitaires et le droit international en mettant en danger la vie des migrants vulnérables, notamment celle des femmes et des enfants.
