Rublev, N.8 mondial, a battu Alcaraz en à peine deux heures 4-6, 6-3, 6-2, et croisera le fer avec l’Américain Taylor Fritz (N.13) pour une place en finale.
Au tour précédent la veille, Carlos Alcaraz, double tenant du titre, s’en était sorti de justesse au bout de quasi trois heures, contre l’Allemand Jan-Lennard Struff (N.24), 6-3, 6-7 (5/7), 7-6 (7/4).
L’ATP Madrid a servi de tournoi de reprise pour l’Espagnol après un mois sans compétition, la faute à son avant-bras droit douloureux qui l’a privé du début de saison sur terre battue (Monte-Carlo et Barcelone).
Si sa série de quatorze matches gagnés consécutivement sur la terre battue madrilène prend fin, Alcaraz (N.3 mondial) a atteint l’horizon qu’il avait esquissé en amont du tournoi, quand il avait estimé que « trois ou quatre matches » seraient satisfaisants : il en a gagné trois et joué quatre, sans souffrir de son avant-bras.
Il est désormais attendu dès la semaine prochaine à Rome, comme le N.1 mondial Novak Djokovic, pour le dernier Masters 1000 sur ocre avant Roland-Garros (26 mai-9 juin).
Au tour précédent la veille, Carlos Alcaraz, double tenant du titre, s’en était sorti de justesse au bout de quasi trois heures, contre l’Allemand Jan-Lennard Struff (N.24), 6-3, 6-7 (5/7), 7-6 (7/4).
L’ATP Madrid a servi de tournoi de reprise pour l’Espagnol après un mois sans compétition, la faute à son avant-bras droit douloureux qui l’a privé du début de saison sur terre battue (Monte-Carlo et Barcelone).
Si sa série de quatorze matches gagnés consécutivement sur la terre battue madrilène prend fin, Alcaraz (N.3 mondial) a atteint l’horizon qu’il avait esquissé en amont du tournoi, quand il avait estimé que « trois ou quatre matches » seraient satisfaisants : il en a gagné trois et joué quatre, sans souffrir de son avant-bras.
Il est désormais attendu dès la semaine prochaine à Rome, comme le N.1 mondial Novak Djokovic, pour le dernier Masters 1000 sur ocre avant Roland-Garros (26 mai-9 juin).