Les États-Unis sont déterminés à honorer leurs engagements. L'administration américaine compte bientôt ouvrir un consulat à Dakhla, a annoncé le conseiller du président américain, Massad Boulos, dans une interview accordée à Asharq News.
Le diplomate a pris soin d'insister sur le caractère marocain des provinces du sud, soulignant que le président Donald Trump n’a eu de cesse de réaffirmer la reconnaissance américaine de la souveraineté marocaine sur le Sahara.
Le consulat américain fait partie des principaux engagements de Washington dans la déclaration tripartite signée avec le Maroc et Israël en décembre 2020. Une antenne virtuelle, rappelons-le, a été prévue initialement avant d'être gelée provisoirement par l'administration Biden.
M. Boulos, chargé par Donald Trump de gérer le dossier du Sahara, a estimé que le conflit a trop duré et qu'il faut y mettre un terme. "Nous sommes plus proches que jamais d'une solution définitive,", a-t-il indiqué, remerciant les partenaires européens, notamment la France et l'Espagne et le Royaume-Uni qui soutiennent le plan d'autonomie dans le cadre d'une alliance internationale. "Le conflit bouclera bientôt son 50ème anniversaire, nous sommes plus optimistes que jamais pour parvenir à un règlement positif et durable", a-t-il ajouté.
Cette déclaration intervient quelques jours avant le vote de la prochaine résolution du Conseil de Sécurité dont Washington est le porte-plume. Le texte devrait consacrer l'initiative d'autonomie comme unique solution envisageable et seule base de négociation.
Massad Boulos, l'artisan des politiques américaines en Afrique, est revenu sur l'Algérie qui, selon lui, est disposée à normaliser ses relations avec le Maroc. Il a, en parallèle, salué la main tendue par SM le Roi au Algériens dans ses discours. Il a qualifié cette position de noble et historique.
Le diplomate a pris soin d'insister sur le caractère marocain des provinces du sud, soulignant que le président Donald Trump n’a eu de cesse de réaffirmer la reconnaissance américaine de la souveraineté marocaine sur le Sahara.
Le consulat américain fait partie des principaux engagements de Washington dans la déclaration tripartite signée avec le Maroc et Israël en décembre 2020. Une antenne virtuelle, rappelons-le, a été prévue initialement avant d'être gelée provisoirement par l'administration Biden.
M. Boulos, chargé par Donald Trump de gérer le dossier du Sahara, a estimé que le conflit a trop duré et qu'il faut y mettre un terme. "Nous sommes plus proches que jamais d'une solution définitive,", a-t-il indiqué, remerciant les partenaires européens, notamment la France et l'Espagne et le Royaume-Uni qui soutiennent le plan d'autonomie dans le cadre d'une alliance internationale. "Le conflit bouclera bientôt son 50ème anniversaire, nous sommes plus optimistes que jamais pour parvenir à un règlement positif et durable", a-t-il ajouté.
Cette déclaration intervient quelques jours avant le vote de la prochaine résolution du Conseil de Sécurité dont Washington est le porte-plume. Le texte devrait consacrer l'initiative d'autonomie comme unique solution envisageable et seule base de négociation.
Massad Boulos, l'artisan des politiques américaines en Afrique, est revenu sur l'Algérie qui, selon lui, est disposée à normaliser ses relations avec le Maroc. Il a, en parallèle, salué la main tendue par SM le Roi au Algériens dans ses discours. Il a qualifié cette position de noble et historique.