Diaz au-dessus du lot en première mi-temps
Solides et disciplinés, les Maliens évoluent en bloc médian, verrouillant l’entrejeu afin de couper les circuits de construction et les transitions des Lions. Ils n’hésitent pas à presser et à bousculer le porteur du ballon marocain, tout en coulissant rapidement vers le camp adverse dès la récupération.
Conséquence directe : malgré une volonté affirmée de confisquer le ballon et d’imposer le rythme, le Maroc peine à se créer de véritables situations
16’ : les Lions accélèrent enfin. Une action en une-deux entre Ounahi et Diaz permet à ce dernier de cadrer une frappe repoussée par le gardien. À l’affût, Saibari, surpris par le rebond, renvoie le ballon au-dessus de la transversale.
Contraints de jouer la victoire, les Aigles ne se contentent pas d’un repli défensif. Ils harcèlent haut et n’hésitent pas à presser les Lions jusque dans leur propre camp.
Passée la demi-heure de jeu, les Lions ré-accélèrent sous l’impulsion d’un Diaz très remuant, mais la défense malienne, vigilante et bien en place, veille à contenir les assauts marocains avant la surface de réparation.
Ce sera le cas jusqu’à la dernière minute de la première période ; Diaz grâce à ses crochets et dribles provoque un penalty validé par la VAR qu’il convertit lui-même ;
Solides et disciplinés, les Maliens évoluent en bloc médian, verrouillant l’entrejeu afin de couper les circuits de construction et les transitions des Lions. Ils n’hésitent pas à presser et à bousculer le porteur du ballon marocain, tout en coulissant rapidement vers le camp adverse dès la récupération.
Conséquence directe : malgré une volonté affirmée de confisquer le ballon et d’imposer le rythme, le Maroc peine à se créer de véritables situations
16’ : les Lions accélèrent enfin. Une action en une-deux entre Ounahi et Diaz permet à ce dernier de cadrer une frappe repoussée par le gardien. À l’affût, Saibari, surpris par le rebond, renvoie le ballon au-dessus de la transversale.
Contraints de jouer la victoire, les Aigles ne se contentent pas d’un repli défensif. Ils harcèlent haut et n’hésitent pas à presser les Lions jusque dans leur propre camp.
Passée la demi-heure de jeu, les Lions ré-accélèrent sous l’impulsion d’un Diaz très remuant, mais la défense malienne, vigilante et bien en place, veille à contenir les assauts marocains avant la surface de réparation.
Ce sera le cas jusqu’à la dernière minute de la première période ; Diaz grâce à ses crochets et dribles provoque un penalty validé par la VAR qu’il convertit lui-même ;






















