L’ancien colonel des services de renseignements militaires israéliens explique dans ces lignes que la reconnaissance israélienne de la marocanité du Sahara, l’échange de visites et le dialogue politique constant entre les deux pays sont les indicateurs de bonnes relations diplomatiques bilatérales. Et d’ajouter que « les actions doivent refléter non seulement l'importance de la relation bilatérale, mais aussi la nécessité de faire face à la subversion iranienne à l'échelle de la région maghrébine ».
Evoquant le Forum du Néguev, qui devait initialement se tenir en mars dernier au Maroc, soit la deuxième édition de ce Sommet des pays signataires des accords d’Abraham, le vice-président du JISS explique qu’il s’agit d’un report et non pas d’une annulation de la tenue de l’événement : « Cela doit néanmoins être considéré comme l'expression d'un malaise face à certains aspects de la politique israélienne. Ce n'est pas irréparable, et la préparation de la convocation du Forum peut être l'occasion de résoudre les divergences critiques qui subsistent ».
Sur le plan politique, la première visite au Maroc du président du Parlement israélien (la Knesset), Amir Ohana, d'origine marocaine, à l'invitation de son homologue marocain, Rachid Talbi Alami, signifie que la relation sous-jacente reste saine, dit-il.
La reconnaissance israélienne de la marocanité du Sahara : quand et comment ?
Au niveau du timing et du format de la reconnaissance israélienne de la souveraineté du Maroc au Sahara, l’analyste estime que c’est une décision qui doit être prise au niveau ministériel.
Ce qui est sûr, c’est que « les étapes préparatoires devraient impliquer une entente, notamment à l’occasion de la visite d‘Amir Ohana, ou dans le cadre d'une visite d'État du président israélien, Isaac Herzog ».
Evoquant le Forum du Néguev, qui devait initialement se tenir en mars dernier au Maroc, soit la deuxième édition de ce Sommet des pays signataires des accords d’Abraham, le vice-président du JISS explique qu’il s’agit d’un report et non pas d’une annulation de la tenue de l’événement : « Cela doit néanmoins être considéré comme l'expression d'un malaise face à certains aspects de la politique israélienne. Ce n'est pas irréparable, et la préparation de la convocation du Forum peut être l'occasion de résoudre les divergences critiques qui subsistent ».
Sur le plan politique, la première visite au Maroc du président du Parlement israélien (la Knesset), Amir Ohana, d'origine marocaine, à l'invitation de son homologue marocain, Rachid Talbi Alami, signifie que la relation sous-jacente reste saine, dit-il.
La reconnaissance israélienne de la marocanité du Sahara : quand et comment ?
Au niveau du timing et du format de la reconnaissance israélienne de la souveraineté du Maroc au Sahara, l’analyste estime que c’est une décision qui doit être prise au niveau ministériel.
Ce qui est sûr, c’est que « les étapes préparatoires devraient impliquer une entente, notamment à l’occasion de la visite d‘Amir Ohana, ou dans le cadre d'une visite d'État du président israélien, Isaac Herzog ».
