Les autorités espagnoles semblent avoir franchi une étape décisive dans l'enquête sur l'assassinat de deux agents de la Garde civile dans le port de Barbate, un incident qui a secoué l'Espagne le 9 février dernier. Selon des sources proches de l'enquête, rapportées par le média espagnol *Vozpópuli*, l'Unité centrale opérationnelle (UCO) de la Garde civile, en collaboration avec la police judiciaire du commandement de Cadix, a identifié les deux principaux suspects au Maroc, précisément dans la région de Dalia.
Cette découverte marque un tournant dans l'enquête, alors que les autorités espagnoles se préparent à solliciter officiellement l'aide de leurs homologues marocains pour l’arrestation des suspects. Il s'agirait de deux ressortissants marocains, dont les profils génétiques ont été identifiés à partir des indices recueillis sur le lieu du crime.
Par ailleurs, La Gaceta a révélé que le 17 mars dernier, un bateau de drogue échoué sur la plage de La Antilla, à Huelva, a fourni des éléments cruciaux pour l'enquête. À bord de l'embarcation, des objets personnels et autres indices ont permis aux enquêteurs de comparer les traces ADN avec celles de la base de données criminelle espagnole. Les résultats ont pointé vers plusieurs individus ayant un casier judiciaire, dont Karim Gabarde, neveu d’un influent baron du haschisch marocain, surnommé « Pus Pus », opérant principalement sur la Costa del Sol.
Selon les informations disponibles, l’un des suspects aurait agi seul lors du meurtre des agents, mais l'implication d'autres individus dans l'organisation criminelle derrière ce crime n'est pas exclue. Les services de renseignement des deux pays ont joué un rôle crucial dans la localisation des suspects, en partageant des informations précises sur leurs mouvements récents.
Face à cette situation, l'Association unifiée des gardes civils (AUGC) a publiquement appelé le ministre espagnol de l'Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, à intensifier les négociations avec le Maroc pour faciliter une coopération judiciaire rapide.
Cette découverte marque un tournant dans l'enquête, alors que les autorités espagnoles se préparent à solliciter officiellement l'aide de leurs homologues marocains pour l’arrestation des suspects. Il s'agirait de deux ressortissants marocains, dont les profils génétiques ont été identifiés à partir des indices recueillis sur le lieu du crime.
Par ailleurs, La Gaceta a révélé que le 17 mars dernier, un bateau de drogue échoué sur la plage de La Antilla, à Huelva, a fourni des éléments cruciaux pour l'enquête. À bord de l'embarcation, des objets personnels et autres indices ont permis aux enquêteurs de comparer les traces ADN avec celles de la base de données criminelle espagnole. Les résultats ont pointé vers plusieurs individus ayant un casier judiciaire, dont Karim Gabarde, neveu d’un influent baron du haschisch marocain, surnommé « Pus Pus », opérant principalement sur la Costa del Sol.
Selon les informations disponibles, l’un des suspects aurait agi seul lors du meurtre des agents, mais l'implication d'autres individus dans l'organisation criminelle derrière ce crime n'est pas exclue. Les services de renseignement des deux pays ont joué un rôle crucial dans la localisation des suspects, en partageant des informations précises sur leurs mouvements récents.
Face à cette situation, l'Association unifiée des gardes civils (AUGC) a publiquement appelé le ministre espagnol de l'Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, à intensifier les négociations avec le Maroc pour faciliter une coopération judiciaire rapide.