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Le Marocain Hatim Aznague, élu au Groupe des Nations Unies pour les enfants et les jeunes


Vendredi 18 Septembre 2020

La commission de Haut Niveau a tenu, jeudi, sa réunion inaugurale à distance qui s’est caractérisée par l’élection du Marocain Hatim Aznague en tant que membre représentant la jeunesse de la région arabe.



Le Marocain Hatim Aznague, élu au Groupe des Nations Unies pour les enfants et les jeunes
Le Marocain Aznague, lauréat du Prix des Nations Unies pour les actions d’objectifs de développement durable (ODD 2018), est l'unique membre de la jeunesse arabe à être désigné au sein de cette commission de Haut Niveau. Celle-ci est coprésidée par Michaëlle Jean, 27 ème gouverneure générale et commandante en chef du Canada et Jakaya Mrisho Kikwete, ex Président de la République de Tanzanie.

Ladite commission, créée pour le suivi du Sommet mondial de Nairobi (CIPD25), a pour objectif de garantir la tenue des engagements en matière de santé et de droits des femmes pris à l’occasion du Sommet de Nairobi sur la CIPD25 en novembre 2019, et ce même pendant la pandémie de la Covid-19, qui bloque l’accès aux services essentiels, en particulier aux services de planification familiale et de soins prénatals.

Le Sommet de Nairobi fut organisé conjointement avec les gouvernements du Danemark et du Kenya par l’UNFPA, l’organisme des Nations Unies chargé des questions de santé sexuelle et reproductive, pour marquer le 25e anniversaire de la Conférence internationale sur la population et le développement.

Il a, par ailleurs, permis de récolter plusieurs milliards de dollars d’engagements de la part des gouvernements, du secteur privé, des fondations et autres, tout en mobilisant le soutien nécessaire pour atteindre les «trois zéros». Il s’agit de : zéro besoin non satisfait en matière de planification familiale, zéro décès maternel évitable et zéro violence basée sur le genre et pratique néfaste, dans dix années.

En effet, le Sommet est considéré comme un événement historique au cours duquel la communauté internationale avait reconnu la santé et les droits en matière de sexualité et de procréation comme des vecteurs de croissance et de prospérité. Cependant, les progrès en la matière sont au point mort.
 
«Depuis la tenue du Sommet de Nairobi, la pandémie de la Covid-19 a considérablement ralenti la réalisation des objectifs de santé et droits en matière de sexualité et de procréation pour tous à l’horizon 2030. Et pourtant, nous continuons à aller de l’avant, à traduire nos paroles en actes concrets sur le terrain. La nouvelle Commission de haut niveau aidera chacun d’entre nous à tenir les promesses faites à Nairobi», souligne le Dr Natalia Kanem, Directrice exécutive de l’UNFPA. 








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