"Des centaines de milliers de Marocains vivent, travaillent et contribuent à la prospérité de l’Italie, tout comme plusieurs milliers d’Italiens s’investissent au Maroc dans l’entreprise, l’éducation, la culture ou les services", a relevé M. Balla lors d'une rencontre à distance initiée par la Confédération générale italienne du travail (CGIL) et l’Institut national confédéral de protection sociale (INCA).
Dans ce contexte, a-t-il ajouté, "de nombreux travailleurs continuent de faire face à des lacunes juridiques, à des procédures complexes et à des droits partiellement reconnus lorsqu’ils passent d’un pays à l’autre".
Soulignant que "le Maroc est pleinement engagé à œuvrer de concert avec les autorités italiennes, les partenaires sociaux et les acteurs de la société civile pour finaliser rapidement une Convention bilatérale de sécurité sociale à la hauteur des attentes", le diplomate a estimé que "ceux qui travaillent, qui contribuent, qui font vivre nos économies doivent pouvoir bénéficier de droits pleins, reconnus et protégés".
Pour l'ambassadeur, il est important de totaliser les contributions en ce sens que chaque année de travail, en Italie ou au Maroc, doit être comptabilisée. "Tout travailleur marocain en Italie ou travailleur italien au Maroc doit bénéficier de droits équitables, sans discrimination, conformément aux standards internationaux", a-t-il dit.
Dans un contexte de mobilité croissante, de besoins en main-d’œuvre qualifiée et de coopération économique renforcée, a-t-il poursuivi, cette Convention ne sera pas "un simple instrument technique", mais un levier de justice sociale et de confiance entre les deux pays, tout en facilitant la mobilité circulaire, en cohérence avec les nouveaux partenariats euro-méditerranéens.
De leur côté, les organisateurs de cette rencontre, placée sous le signe "Vers une Convention bilatérale de la sécurité sociale entre l'Italie et le Maroc", ont estimé qu'il est temps de franchir "une étape décisive" pour protéger les travailleurs italiens et marocains.
"Des milliers de personnes vivent et travaillent entre les deux pays, alors qu'elles continuent de se heurter à des lacunes réglementaires en matière de sécurité sociale et de retraite", ont-ils déploré, insistant sur l'urgence d'œuvrer pour un accord bilatéral dans ce domaine.
Dans ce contexte, a-t-il ajouté, "de nombreux travailleurs continuent de faire face à des lacunes juridiques, à des procédures complexes et à des droits partiellement reconnus lorsqu’ils passent d’un pays à l’autre".
Soulignant que "le Maroc est pleinement engagé à œuvrer de concert avec les autorités italiennes, les partenaires sociaux et les acteurs de la société civile pour finaliser rapidement une Convention bilatérale de sécurité sociale à la hauteur des attentes", le diplomate a estimé que "ceux qui travaillent, qui contribuent, qui font vivre nos économies doivent pouvoir bénéficier de droits pleins, reconnus et protégés".
Pour l'ambassadeur, il est important de totaliser les contributions en ce sens que chaque année de travail, en Italie ou au Maroc, doit être comptabilisée. "Tout travailleur marocain en Italie ou travailleur italien au Maroc doit bénéficier de droits équitables, sans discrimination, conformément aux standards internationaux", a-t-il dit.
Dans un contexte de mobilité croissante, de besoins en main-d’œuvre qualifiée et de coopération économique renforcée, a-t-il poursuivi, cette Convention ne sera pas "un simple instrument technique", mais un levier de justice sociale et de confiance entre les deux pays, tout en facilitant la mobilité circulaire, en cohérence avec les nouveaux partenariats euro-méditerranéens.
De leur côté, les organisateurs de cette rencontre, placée sous le signe "Vers une Convention bilatérale de la sécurité sociale entre l'Italie et le Maroc", ont estimé qu'il est temps de franchir "une étape décisive" pour protéger les travailleurs italiens et marocains.
"Des milliers de personnes vivent et travaillent entre les deux pays, alors qu'elles continuent de se heurter à des lacunes réglementaires en matière de sécurité sociale et de retraite", ont-ils déploré, insistant sur l'urgence d'œuvrer pour un accord bilatéral dans ce domaine.





















