Les débuts : un Lion apprend à rugir (1963–1972)
1976 : Le jour où les Lions ont dévoré l’Afrique
2004 : La génération en or… sans l’or !
Un long passage à vide : années de doutes (2006–2015)
La décennie suivante est compliquée : éliminations répétées dès la phase de groupes, manque de stabilité, frustrations à répétition.
L’équipe se cherche, sans trouver de continuité.
L’ère moderne : les Lions retrouvent leur rang (2017–2024)
Un géant en quête d’un deuxième sacre (2025)
Le Maroc découvre la CAN en 1963. Malgré des éliminations précoces lors des quatre premières participations, les Lions posent les bases et apprennent à exister face aux géants du continent. Un temps de construction, sans éclat mais essentiel.
1976 : Le jour où les Lions ont dévoré l’Afrique
L’Éthiopie devient le théâtre du plus grand exploit de l’histoire marocaine.
Dans un format en deux phases de groupes, les Lions réalisent un parcours parfait et décrochent leur unique titre continental.
Ahmed Faras, capitaine emblématique, illumine la compétition.
Dans un format en deux phases de groupes, les Lions réalisent un parcours parfait et décrochent leur unique titre continental.
Ahmed Faras, capitaine emblématique, illumine la compétition.
Les années contrastées : entre coups d’éclat et déceptions (1978–1998)
Après le sacre, les Lions alternent bonnes campagnes et sorties rapides.
-1980 offre un podium (3ᵉ place),
-1988 une quatrième place à domicile
-Les années 90 confirment le paradoxe : talent présent, résultats irréguliers.
-1980 offre un podium (3ᵉ place),
-1988 une quatrième place à domicile
-Les années 90 confirment le paradoxe : talent présent, résultats irréguliers.
2004 : La génération en or… sans l’or !
Vingt-huit ans après leur sacre, les Lions se réinventent à Tunis :
Hadji, Zaki, El Karkouri, Chamakh, Regragui… : le Maroc séduit et fait rêver tout un pays.
La finale, disputée face à la Tunisie, tourne pourtant en faveur des Aigles de Carthage (2–1).
Un élan magnifique… mais une occasion manquée.
Hadji, Zaki, El Karkouri, Chamakh, Regragui… : le Maroc séduit et fait rêver tout un pays.
La finale, disputée face à la Tunisie, tourne pourtant en faveur des Aigles de Carthage (2–1).
Un élan magnifique… mais une occasion manquée.
Un long passage à vide : années de doutes (2006–2015)
La décennie suivante est compliquée : éliminations répétées dès la phase de groupes, manque de stabilité, frustrations à répétition.
L’équipe se cherche, sans trouver de continuité.
L’ère moderne : les Lions retrouvent leur rang (2017–2024)
Depuis 2017, le Maroc s’installe de nouveau parmi les puissances africaines.
Quart de finale en 2017, huitième puis quart lors des éditions suivantes, et surtout une trajectoire mondiale fulgurante avec la demi-finale du Mondial 2022.
Mais en CAN, la barrière persiste : les Lions butent, souvent trop tôt, malgré leur statut.
Quart de finale en 2017, huitième puis quart lors des éditions suivantes, et surtout une trajectoire mondiale fulgurante avec la demi-finale du Mondial 2022.
Mais en CAN, la barrière persiste : les Lions butent, souvent trop tôt, malgré leur statut.
Un géant en quête d’un deuxième sacre (2025)
Avec dix-huit participations et un seul titre, le Maroc occupe une place paradoxale : respecté, puissant, mais pas assez couronné.
Les générations se suivent, le talent est là, les infrastructures sont exemplaires…
Il manque encore le trophée pour refermer le cercle ouvert en 1976.
Les générations se suivent, le talent est là, les infrastructures sont exemplaires…
Il manque encore le trophée pour refermer le cercle ouvert en 1976.





















