Huit mois après la reprise des relations entre le Maroc et Israël sous les auspices de l’oncle Sam, le ministre israélien des Affaires étrangères, Yair Lapid, a effectué sa première visite officielle au Royaume à la tête d’une délégation de haut niveau, avec en ligne de mire l’approfondissement des relations entre les deux pays, mais également et surtout afin de montrer la détermination de ces derniers à vouloir lancer une nouvelle ère de coopération.
Une détermination qui est également ressentie dans le monde des affaires, où, depuis l’annonce de la reprise des relations, les initiatives et prises de contact en tous genres se multiplient des deux côtés. Tourisme, R&D, aviation, agriculture, énergie, commerce, investissement… Il va donc sans dire que les affaires vont bon train ! Une dynamique rendue possible aussi grâce à une communauté de près d’un million d’Israéliens d’origine marocaine, encore attachée à sa patrie historique et qui ne s’en cache pas.
Ainsi, la volonté du Maroc de tisser des liens solides avec l’Etat hébreu dénote un certain pragmatisme politique, surtout avec les changements géopolitiques actuels qui redessinent le monde et ses frontières, sans oublier la crise sanitaire qui accentue la nécessité de revoir les cartes diplomatiques.
C’est d’ailleurs dans cette même perspective que le SM le Roi a tendu la main à l’Algérie pour établir des relations bilatérales fondées sur la confiance, le dialogue et le bon voisinage, mais qui, malheureusement, n’a pas eu le résultat escompté. Car au moment où le Royaume est tourné vers l’avenir, sans complexes, en laissant derrière les vicissitudes de l’Histoire, le régime algérien ne démord pas de rejeter la voie d’un apaisement salvateur pour son peuple et pour toute la région.
Empêtré dans un entêtement aveugle, notre voisin de l’Est – jusqu’au moment de l’écriture de ces lignes – n’a toujours pas accepté l’offre d’aide marocaine pour contrecarrer les incendies de forêts, alors qu’il est profondément endeuillé, comptant plusieurs dizaines de morts. Pourtant, dans une démarche qui accuse un certain atavisme servile, il n’a pas hésité à quémander l’assistance européenne pour l’envoi de canadairs.Triste.
Une détermination qui est également ressentie dans le monde des affaires, où, depuis l’annonce de la reprise des relations, les initiatives et prises de contact en tous genres se multiplient des deux côtés. Tourisme, R&D, aviation, agriculture, énergie, commerce, investissement… Il va donc sans dire que les affaires vont bon train ! Une dynamique rendue possible aussi grâce à une communauté de près d’un million d’Israéliens d’origine marocaine, encore attachée à sa patrie historique et qui ne s’en cache pas.
Ainsi, la volonté du Maroc de tisser des liens solides avec l’Etat hébreu dénote un certain pragmatisme politique, surtout avec les changements géopolitiques actuels qui redessinent le monde et ses frontières, sans oublier la crise sanitaire qui accentue la nécessité de revoir les cartes diplomatiques.
C’est d’ailleurs dans cette même perspective que le SM le Roi a tendu la main à l’Algérie pour établir des relations bilatérales fondées sur la confiance, le dialogue et le bon voisinage, mais qui, malheureusement, n’a pas eu le résultat escompté. Car au moment où le Royaume est tourné vers l’avenir, sans complexes, en laissant derrière les vicissitudes de l’Histoire, le régime algérien ne démord pas de rejeter la voie d’un apaisement salvateur pour son peuple et pour toute la région.
Empêtré dans un entêtement aveugle, notre voisin de l’Est – jusqu’au moment de l’écriture de ces lignes – n’a toujours pas accepté l’offre d’aide marocaine pour contrecarrer les incendies de forêts, alors qu’il est profondément endeuillé, comptant plusieurs dizaines de morts. Pourtant, dans une démarche qui accuse un certain atavisme servile, il n’a pas hésité à quémander l’assistance européenne pour l’envoi de canadairs.Triste.
Saâd JAFRI