Ce cliché, pris un mardi à 11h45 devant l’ORMVAD à El Jadida, n’est pas qu’une simple image. C’est un cri silencieux. Une interpellation visuelle. Comment accepter que nos trottoirs deviennent des dépotoirs à ciel ouvert, sous les fenêtres mêmes des institutions publiques ?
Où est la conscience civique ? Où est la vigilance de l’entreprise chargée de l’assainissement ? Où sont les engagements pris envers les citoyens ?
Cette scène n’est pas une fatalité. Elle est le résultat d’une chaîne de négligences : un service défaillant, un contrôle absent, une responsabilité diluée. Et pendant ce temps, c’est l’image de la ville, son hygiène, sa dignité qui se dégradent.
El Jadida n’est pas une poubelle. Elle est une ville chargée d’histoire, tournée vers l’avenir. Elle mérite des trottoirs propres, une gestion rigoureuse, un respect minimal.
Où est la conscience civique ? Où est la vigilance de l’entreprise chargée de l’assainissement ? Où sont les engagements pris envers les citoyens ?
Cette scène n’est pas une fatalité. Elle est le résultat d’une chaîne de négligences : un service défaillant, un contrôle absent, une responsabilité diluée. Et pendant ce temps, c’est l’image de la ville, son hygiène, sa dignité qui se dégradent.
El Jadida n’est pas une poubelle. Elle est une ville chargée d’histoire, tournée vers l’avenir. Elle mérite des trottoirs propres, une gestion rigoureuse, un respect minimal.