On savait que la réanimation de l’antédiluvien ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, allait inaugurer une ère de tension continue avec nos voisins de l’Est. Mais on n’imaginait pas que ce cacique du régime des généraux déguisé en diplomate était dépourvu de courage politique au point de faire endosser au Maroc la responsabilité d’une déclaration souveraine du ministre israélien des Affaires étrangères Yaïr Lapid. Faite au Maroc, ladite déclaration concerne le troublant rapprochement irano-algérien et ses incidences sur la stabilité de l’Afrique et du Maghreb.
Dans un communiqué tardif de la diplomatie algérienne, publié quatre jours après les faits, la paternité de ces propos est directement attribuée à Nasser Bourita, ministre marocain des Affaires étrangères, tandis que la responsabilité israélienne est reléguée au second plan. Comme si le Maroc dictait à Israël sa politique étrangère.
Cette attitude de la diplomatie algérienne, qui semble vouloir éviter à tout prix la confrontation directe avec la féroce armada diplomatique de l’Etat hébreu et ses puissants alliés occidentaux, dénote une lâcheté politique qui en dit long sur la mentalité des généraux algériens et leur tropisme marocain. Elle s’inscrit en continuité de la très timide réaction algérienne exprimée il y a trois semaines suite à l’adhésion d’Israël en tant que membre observateur de l’Union Africaine, ainsi qu’en continuité du communiqué incendiaire de la diplomatie algérienne à l’égard du Maroc dans le sillage de l’affaire mort-née du logiciel israélien espion, Pegasus.
Dans l’un comme dans l’autre cas, le nom d’Israël a été à peine susurré, tandis que le Royaume a été allégrement diffamé et littéralement lapidé. Tels sont les dirigeants de l’actuelle Algérie, une bande de lâches et d’intrigants dont l’obsession envers le Maroc n’a d’égal que leur propension à l’affabulation et à la manipulation des faits.
Dernière illustration en date de cette tendance : leurs tentatives récentes en vue d’inventer une improbable connexion entre les incendies ravageurs qui ont embrasé la Kabylie, le lynchage moyenâgeux d’un innocent accusé à tort de pyromanie et le Royaume qui a pourtant proposé son aide et ses moyens pour contenir ces mêmes incendies.
Dans un communiqué tardif de la diplomatie algérienne, publié quatre jours après les faits, la paternité de ces propos est directement attribuée à Nasser Bourita, ministre marocain des Affaires étrangères, tandis que la responsabilité israélienne est reléguée au second plan. Comme si le Maroc dictait à Israël sa politique étrangère.
Cette attitude de la diplomatie algérienne, qui semble vouloir éviter à tout prix la confrontation directe avec la féroce armada diplomatique de l’Etat hébreu et ses puissants alliés occidentaux, dénote une lâcheté politique qui en dit long sur la mentalité des généraux algériens et leur tropisme marocain. Elle s’inscrit en continuité de la très timide réaction algérienne exprimée il y a trois semaines suite à l’adhésion d’Israël en tant que membre observateur de l’Union Africaine, ainsi qu’en continuité du communiqué incendiaire de la diplomatie algérienne à l’égard du Maroc dans le sillage de l’affaire mort-née du logiciel israélien espion, Pegasus.
Dans l’un comme dans l’autre cas, le nom d’Israël a été à peine susurré, tandis que le Royaume a été allégrement diffamé et littéralement lapidé. Tels sont les dirigeants de l’actuelle Algérie, une bande de lâches et d’intrigants dont l’obsession envers le Maroc n’a d’égal que leur propension à l’affabulation et à la manipulation des faits.
Dernière illustration en date de cette tendance : leurs tentatives récentes en vue d’inventer une improbable connexion entre les incendies ravageurs qui ont embrasé la Kabylie, le lynchage moyenâgeux d’un innocent accusé à tort de pyromanie et le Royaume qui a pourtant proposé son aide et ses moyens pour contenir ces mêmes incendies.
Majd EL ATOUABI