Vision, sagesse et lucidité du ton, tels sont les maîtres mots du discours prononcé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI en ce mardi 29 juillet 2025, à l’occasion du 26ème anniversaire de Son accession au Trône. En dressant un bilan sans concession sur l’état de développement de notre pays qui avance à deux vitesses, le Roi interpelle la classe politique et dirigeante sur la nécessité de déployer davantage d’efforts et de sacrifices afin de résorber les profondes disparités sociales et territoriales qui continuent à nous ronger.
Des disparités qui mettent en péril la pérennité et la stabilité d’un modèle socioéconomique, pourtant en constante progression. En témoigne, comme le souligne le Souverain, l’amélioration des indicateurs économiques et sociaux en dépit d’un contexte local et international compliqué, à cause notamment de la succession des cycles de sécheresse et des crises géopolitiques. En témoigne également l’essor réjouissant de nos métiers mondiaux, spécialement en matière d’industrie et de tourisme, ainsi que le renforcement et le développement remarquables de nos infrastructures routières, portuaires, énergétiques et hydriques.
Malgré cela, le constat dressé par Sa Majesté le Roi dénote une évidente insatisfaction quant à la répartition inégale des dividendes socioéconomiques des progrès réalisés durant les deux dernières décennies. D’où Ses instructions en vue de déployer une stratégie de développement territorial de nouvelle génération, à même de permettre à notre pays «d’aborder l’avenir avec confiance et optimisme». D’où Son insistance également pour l’élaboration d’un Code général des élections avant les prochaines échéances électorales et le renouvellement de l’Exécutif qui héritera de la charge du déploiement de l’ensemble de ces mesures, conformément à l’esprit et à la lettre de la loi fondamentale du pays.
Fidèle à Son approche pacifiste, sage et mature envers l’environnement géopolitique international et surtout régional, le Souverain n’a pas manqué de tendre pour la énième fois une poignée amicale à destination du «peuple algérien frère» dont les dirigeants s’entêtent depuis des décennies à maintenir l’ensemble de la région sous tension. Insistant sur les points qui nous unissent en matière de langue, d’Histoire, de culture et de religion, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a exprimé Sa parfaite disposition pour l’ouverture d’un débat franc et sincère en vue de résorber les sujets qui nous divisent et de permettre une sortie honorable de l’actuelle crise, sans vainqueur ni vaincu.
Tendue au lendemain de la visite à Alger de Masad Boulos, le conseiller personnel du Président américain Donald Trump pour les affaires arabes, du Moyen-Orient et d’Afrique, visite au cours de laquelle la question du Sahara aura sans doute pesé dans les discussions, cette énième main Royale et amicale, à l’adresse de l’Algérie, résonne comme une dernière et ultime chance pour l’avènement d’une vraie paix des braves.
Des disparités qui mettent en péril la pérennité et la stabilité d’un modèle socioéconomique, pourtant en constante progression. En témoigne, comme le souligne le Souverain, l’amélioration des indicateurs économiques et sociaux en dépit d’un contexte local et international compliqué, à cause notamment de la succession des cycles de sécheresse et des crises géopolitiques. En témoigne également l’essor réjouissant de nos métiers mondiaux, spécialement en matière d’industrie et de tourisme, ainsi que le renforcement et le développement remarquables de nos infrastructures routières, portuaires, énergétiques et hydriques.
Malgré cela, le constat dressé par Sa Majesté le Roi dénote une évidente insatisfaction quant à la répartition inégale des dividendes socioéconomiques des progrès réalisés durant les deux dernières décennies. D’où Ses instructions en vue de déployer une stratégie de développement territorial de nouvelle génération, à même de permettre à notre pays «d’aborder l’avenir avec confiance et optimisme». D’où Son insistance également pour l’élaboration d’un Code général des élections avant les prochaines échéances électorales et le renouvellement de l’Exécutif qui héritera de la charge du déploiement de l’ensemble de ces mesures, conformément à l’esprit et à la lettre de la loi fondamentale du pays.
Fidèle à Son approche pacifiste, sage et mature envers l’environnement géopolitique international et surtout régional, le Souverain n’a pas manqué de tendre pour la énième fois une poignée amicale à destination du «peuple algérien frère» dont les dirigeants s’entêtent depuis des décennies à maintenir l’ensemble de la région sous tension. Insistant sur les points qui nous unissent en matière de langue, d’Histoire, de culture et de religion, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a exprimé Sa parfaite disposition pour l’ouverture d’un débat franc et sincère en vue de résorber les sujets qui nous divisent et de permettre une sortie honorable de l’actuelle crise, sans vainqueur ni vaincu.
Tendue au lendemain de la visite à Alger de Masad Boulos, le conseiller personnel du Président américain Donald Trump pour les affaires arabes, du Moyen-Orient et d’Afrique, visite au cours de laquelle la question du Sahara aura sans doute pesé dans les discussions, cette énième main Royale et amicale, à l’adresse de l’Algérie, résonne comme une dernière et ultime chance pour l’avènement d’une vraie paix des braves.
