Sous le signe de « L’art des Abidat R’ma, patrimoine des ancêtres et créativité des jeunes », le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication organise, en partenariat avec la Province, le Conseil de la Région, le Conseil Provincial, les Collectivités Locales et le Groupe OCP, les 27, 28 et 29 juillet 2023, la 22ème édition de son festival national des Abidat R’ma.
40 troupes des Abidat R’ma représentant les provinces de Khouribga, Benslimane, Fkih Ben Salah, Beni Mellal, Azilal et Rhamna vont participer à cinq soirées publiques qui draineront une affluence massive grâce surtout à l’ambiance festive, fougueuse et enflammée que ces troupes créent aussi bien par les sons des tambourins que par la mosaïque des chants mystiques et des danses qui submergent âme et corps.
En parallèle au programme des spectacles, il sera organisé lors de ce festival national dont la réputation a franchi les frontières, des hommages pour les chioukhs et les vétérans de cet art ancestral, un colloque pour débattre de « l’image de la femme dans le patrimoine culturel », en plus d’une exposition des affiches des précédentes éditions. Notons enfin, la présentation d’un show qui sera organisé au profit des détenus de la prison civile de Khouribga.
Rappelons qu’une commission multidisciplinaire avait travaillé à la valorisation des troupes des chioukhs considérés comme des trésors vivants pour une meilleure préservation de ce patrimoine culturel. Rappelons aussi que cet art populaire des Abidat R’ma est un patrimoine socioculturel marocain enraciné dans les traditions rurales et pastorales et est caractérisé surtout par la spontanéité du rythme et du geste et la simplicité de l’apparat.
Dans le temps, les Abidat R’ma étaient des accompagnateurs des nobles durant les parties de chasse à courre pour débusquer le gibier le jour et pour animer les soirées et veillées la nuit, moments privilégiés par les chasseurs pour la détente et la délectation au rythme des chants et des danses teintés de burlesque et même de bouffonnerie.
Un rendez-vous donc annuel à ne pas manquer car comme les organisateurs du festival l’avaient toujours déclaré : « Nous nous sommes engagés corps et âme pour que vive ce festival, pour que cette mémoire populaire soit plus éloquente et parle par elle-même ».
40 troupes des Abidat R’ma représentant les provinces de Khouribga, Benslimane, Fkih Ben Salah, Beni Mellal, Azilal et Rhamna vont participer à cinq soirées publiques qui draineront une affluence massive grâce surtout à l’ambiance festive, fougueuse et enflammée que ces troupes créent aussi bien par les sons des tambourins que par la mosaïque des chants mystiques et des danses qui submergent âme et corps.
En parallèle au programme des spectacles, il sera organisé lors de ce festival national dont la réputation a franchi les frontières, des hommages pour les chioukhs et les vétérans de cet art ancestral, un colloque pour débattre de « l’image de la femme dans le patrimoine culturel », en plus d’une exposition des affiches des précédentes éditions. Notons enfin, la présentation d’un show qui sera organisé au profit des détenus de la prison civile de Khouribga.
Rappelons qu’une commission multidisciplinaire avait travaillé à la valorisation des troupes des chioukhs considérés comme des trésors vivants pour une meilleure préservation de ce patrimoine culturel. Rappelons aussi que cet art populaire des Abidat R’ma est un patrimoine socioculturel marocain enraciné dans les traditions rurales et pastorales et est caractérisé surtout par la spontanéité du rythme et du geste et la simplicité de l’apparat.
Dans le temps, les Abidat R’ma étaient des accompagnateurs des nobles durant les parties de chasse à courre pour débusquer le gibier le jour et pour animer les soirées et veillées la nuit, moments privilégiés par les chasseurs pour la détente et la délectation au rythme des chants et des danses teintés de burlesque et même de bouffonnerie.
Un rendez-vous donc annuel à ne pas manquer car comme les organisateurs du festival l’avaient toujours déclaré : « Nous nous sommes engagés corps et âme pour que vive ce festival, pour que cette mémoire populaire soit plus éloquente et parle par elle-même ».
ELAZHAR
