Ce 6 décembre, en pleine commune de Kénitra, des animoureux ont diffusé sur les réseaux sociaux des vidéos et photos de chiens affamés, efflanqués, décharnés, enfermés et enserrés dans un bâtiment abandonné. Parmi ces images troublantes, il y a aussi des chiots sans vie, pour ne mentionner que ces détails... Selon des acteurs de la société civile sur place, ces animaux "de la rue" ont été déplacés vers ces lieux par les autorités locales. Nous avons essayé de joindre la mairie et la commune pour confirmer ces propos, mais en vain.
Au moment de la rédaction de cet article, Dounia Louezzane, fondatrice de l'association Kelb Derby, une association pour la protection des conditions de vie des chiens des rues au Maroc, nous apprend que grâce à la mobilisation d'un grand nombre de ses followers, 20 chiens viennent d'être pris en charge et sortis de ces folles conditions.
Le plus inquiétant est que cette histoire n'est pas un cas isolé. Presque chaque mois, des scènes similaires provoquent l'ire et le haut-le-cœur du public animoureux sans pour autant mettre terme à cette torture animalière.
Aujourd'hui, vétérinaires, défenseurs de la cause animale, société civile, créateurs de contenu et internautes contestent la lenteur de la mise en oeuvre par les responsables régionaux du programme national de stérilisation, castration et mise en adoption lancé il y a quelques mois.
Au moment de la rédaction de cet article, Dounia Louezzane, fondatrice de l'association Kelb Derby, une association pour la protection des conditions de vie des chiens des rues au Maroc, nous apprend que grâce à la mobilisation d'un grand nombre de ses followers, 20 chiens viennent d'être pris en charge et sortis de ces folles conditions.
Le plus inquiétant est que cette histoire n'est pas un cas isolé. Presque chaque mois, des scènes similaires provoquent l'ire et le haut-le-cœur du public animoureux sans pour autant mettre terme à cette torture animalière.
Aujourd'hui, vétérinaires, défenseurs de la cause animale, société civile, créateurs de contenu et internautes contestent la lenteur de la mise en oeuvre par les responsables régionaux du programme national de stérilisation, castration et mise en adoption lancé il y a quelques mois.