-Vous avez non seulement remporté la 23ème édition du Grand Prix SAR la Princesse Lalla Meryem (WTA 250) face à la Roumaine Jaqueline Cristian, mais vous avez aussi réalisé un exploit inédit en décrochant les titres en simple et en double lors du même tournoi. Que représente cette double victoire historique pour vous ?
-C'est vraiment spécial. Cette semaine a été tout simplement incroyable pour moi, surtout d'avoir réussi à gagner le simple et le double. C'est une sensation formidable, car c'est quelque chose qui arrive assez rarement dans une carrière. Accumuler ces deux titres demande une concentration et une endurance sur toute la durée du tournoi. C'est une double satisfaction qui confirme le travail acharné et les heures passées à l'entraînement. Cela rend cette victoire encore plus mémorable.
-Le match contre Jaqueline Cristian était difficile. Quels moments clés ont, selon vous, fait basculer la rencontre en votre faveur ?
-Ce jour-là, les conditions étaient particulièrement difficiles, marquées par un vent fort qui a rendu le jeu très différent du reste de la semaine. Le tournant s'est produit lorsque j'ai réussi à la breaker à 4-3, prenant ainsi une avance de 5-3 dans le premier set. Ce break m'a permis de prendre de l’avance. Dès lors, j'ai mieux appréhendé les conditions venteuses et compris que la clé était de maintenir ma constance.
-Quelle était votre stratégie pour ce match ?
-A vrai dire, je ne connaissais pas très bien mon adversaire avant le match, mais j'ai essayé de jouer mon jeu et d'être agressive. Une fois que j'ai réalisé dans les premiers jeux que le vent rendrait les choses difficiles, j'ai décidé d'essayer de l'utiliser à mon avantage.
-À seulement 19 ans, cette victoire doit être un coup de pouce important pour votre carrière. Que représente ce titre pour vous ?
-Oui, c'est fou. Je ne m’attendais pas à remporter le Grand Prix SAR la Princesse Lalla Meryem. Je suis encore un peu surprise par moi-même, mais vraiment heureuse d'avoir pu gagner. J'espère que ce sera le premier d'une longue série de victoires.
-Par ailleurs, que pensez-vous de l'organisation du Grand Prix SAR la Princesse Lalla Meryem ?
-C'était incroyable. Les matchs étaient parfaitement programmés, et le calendrier a été très bien respecté. Toutes les personnes impliquées dans ce tournoi : les juges de ligne, les ramasseurs de balles, les kinésithérapeutes,... ont été formidables.
-Enfin, quel a été votre meilleur souvenir à Rabat en dehors du tennis ?
-Malheureusement, je n'ai pas eu beaucoup de temps pour visiter la ville, mais je vais au Chellah plus tard aujourd'hui. Je pense que ce sera un moment fort de la semaine.
-C'est vraiment spécial. Cette semaine a été tout simplement incroyable pour moi, surtout d'avoir réussi à gagner le simple et le double. C'est une sensation formidable, car c'est quelque chose qui arrive assez rarement dans une carrière. Accumuler ces deux titres demande une concentration et une endurance sur toute la durée du tournoi. C'est une double satisfaction qui confirme le travail acharné et les heures passées à l'entraînement. Cela rend cette victoire encore plus mémorable.
-Le match contre Jaqueline Cristian était difficile. Quels moments clés ont, selon vous, fait basculer la rencontre en votre faveur ?
-Ce jour-là, les conditions étaient particulièrement difficiles, marquées par un vent fort qui a rendu le jeu très différent du reste de la semaine. Le tournant s'est produit lorsque j'ai réussi à la breaker à 4-3, prenant ainsi une avance de 5-3 dans le premier set. Ce break m'a permis de prendre de l’avance. Dès lors, j'ai mieux appréhendé les conditions venteuses et compris que la clé était de maintenir ma constance.
-Quelle était votre stratégie pour ce match ?
-A vrai dire, je ne connaissais pas très bien mon adversaire avant le match, mais j'ai essayé de jouer mon jeu et d'être agressive. Une fois que j'ai réalisé dans les premiers jeux que le vent rendrait les choses difficiles, j'ai décidé d'essayer de l'utiliser à mon avantage.
-À seulement 19 ans, cette victoire doit être un coup de pouce important pour votre carrière. Que représente ce titre pour vous ?
-Oui, c'est fou. Je ne m’attendais pas à remporter le Grand Prix SAR la Princesse Lalla Meryem. Je suis encore un peu surprise par moi-même, mais vraiment heureuse d'avoir pu gagner. J'espère que ce sera le premier d'une longue série de victoires.
-Par ailleurs, que pensez-vous de l'organisation du Grand Prix SAR la Princesse Lalla Meryem ?
-C'était incroyable. Les matchs étaient parfaitement programmés, et le calendrier a été très bien respecté. Toutes les personnes impliquées dans ce tournoi : les juges de ligne, les ramasseurs de balles, les kinésithérapeutes,... ont été formidables.
-Enfin, quel a été votre meilleur souvenir à Rabat en dehors du tennis ?
-Malheureusement, je n'ai pas eu beaucoup de temps pour visiter la ville, mais je vais au Chellah plus tard aujourd'hui. Je pense que ce sera un moment fort de la semaine.
Portrait
Maya Joint, double jeu et double joie
Il y a des semaines qui basculent une carrière. Celle que vient de vivre Maya Joint à Rabat en fait assurément partie.
Maya Joint, une jeune femme au sourire aussi éclatant que son palmarès de la semaine dernière, a frappé un grand coup sur la terre battue du Club des Cheminots (Union Sportive des Cheminots du Maroc-USCM).
Non contente de remporter le simple du Grand Prix SAR la Princesse Lalla Meryem (WTA 250), elle a récidivé en double, réalisant un exploit rare et marquant son entrée fracassante dans le circuit professionnel.
«C'est vraiment spécial. Cette semaine a été incroyable, surtout de réussir les deux catégories double et simple. C'est une sensation formidable, car cela arrive rarement», nous confie-t-elle.
Une «double satisfaction» qui récompense un travail acharné et des heures d'entraînement, rendant cette victoire d'autant plus mémorable pour la jeune australienne.
Sa stratégie ? Un jeu agressif, son identité sur le court. Même face à une adversaire qu'elle connaissait peu, Joint a su imposer son rythme. «J'ai essayé de jouer mon jeu et d'être agressive. Quand j'ai vu que le vent complique les choses, j'ai tenté de l'utiliser à mon avantage». Une intelligence de jeu qui promet de belles perspectives pour la suite de sa carrière.
Victorieuse du tournoi, Maya Joint passe du 78ème au 53ème rang mondial et fait une performance inédite dans l'histoire du tournoi qui célèbre cette année son 23ème anniversaire.
Cette victoire est bien plus qu'un simple titre. C'est un tremplin, une confirmation de son potentiel. Avec ce double titre, l’Australienne de 19 ans ne fait que graver son nom dans l'histoire du Grand Prix SAR la Princesse Lalla Meryem. Elle envoie un signal fort au monde du tennis : une nouvelle étoile est née. Et son voyage ne fait que commencer.
Il y a des semaines qui basculent une carrière. Celle que vient de vivre Maya Joint à Rabat en fait assurément partie.
Maya Joint, une jeune femme au sourire aussi éclatant que son palmarès de la semaine dernière, a frappé un grand coup sur la terre battue du Club des Cheminots (Union Sportive des Cheminots du Maroc-USCM).
Non contente de remporter le simple du Grand Prix SAR la Princesse Lalla Meryem (WTA 250), elle a récidivé en double, réalisant un exploit rare et marquant son entrée fracassante dans le circuit professionnel.
«C'est vraiment spécial. Cette semaine a été incroyable, surtout de réussir les deux catégories double et simple. C'est une sensation formidable, car cela arrive rarement», nous confie-t-elle.
Une «double satisfaction» qui récompense un travail acharné et des heures d'entraînement, rendant cette victoire d'autant plus mémorable pour la jeune australienne.
Sa stratégie ? Un jeu agressif, son identité sur le court. Même face à une adversaire qu'elle connaissait peu, Joint a su imposer son rythme. «J'ai essayé de jouer mon jeu et d'être agressive. Quand j'ai vu que le vent complique les choses, j'ai tenté de l'utiliser à mon avantage». Une intelligence de jeu qui promet de belles perspectives pour la suite de sa carrière.
Victorieuse du tournoi, Maya Joint passe du 78ème au 53ème rang mondial et fait une performance inédite dans l'histoire du tournoi qui célèbre cette année son 23ème anniversaire.
Cette victoire est bien plus qu'un simple titre. C'est un tremplin, une confirmation de son potentiel. Avec ce double titre, l’Australienne de 19 ans ne fait que graver son nom dans l'histoire du Grand Prix SAR la Princesse Lalla Meryem. Elle envoie un signal fort au monde du tennis : une nouvelle étoile est née. Et son voyage ne fait que commencer.
