Grâce aux recherches d’un spécialiste en analyse open source, la rédaction du média catalan a réussi à localiser 400 ordinateurs volés dans le lycée public « Les Vinyes » de la commune de Santa Coloma de Gramenet (province de Barcelone).
Les efforts de cet analyste ont permis de localiser d’autres appareils volés dans la région du Penedès (Catalogne), voire d’autres dérobés d’établissements scolaires andalous, dans le Sud du pays.
La plupart de ces terminaux portent la sérigraphie du gouvernement catalan, ce qui a permis de confirmer qu’il s’agit bel et bien d’appareils volés d’établissements scolaires publics catalans.
L’hypothèse est que ces appareils ont été transportés par voie terrestre vers le Sud du pays avant de traverser le Détroit. Après avoir transité dans des entrepôts – que l’investigation a localisés –, ils ont été distribués à des commerçants de détail, qui revendent les appareils à deux fois moins le prix réel.
En l’absence de coopération policière, les contrebandiers agissent en toute impunité
Selon la même source, les revendeurs ne se sont même pas donné la peine d’enlever les marques de la Generalitat des ordinateurs. Ils sont parfaitement conscients de leur origine douteuse, mais ils savent également que les autorités européennes sont impuissantes pour agir dans le Maroc. D’autant plus qu’il est rare que la police marocaine réponde aux demandes de collaboration de leurs homologues étrangers, poursuit le document.
Dans un entretien avec l’enquêteur, ce dernier a regretté le «manque de coopération des autorités marocaines dans cette affaire, car il n'a pas reçu de réponse à ses contacts. Ce qui complique les efforts pour récupérer les appareils ou arrêter les réseaux de contrebande transfrontalière».
Par contre, les malfaiteurs n’ont pas publié d’images de ces appareils au niveau de leurs canaux promotionnels officiels par prudence.
Une investigation qui avance lentement
Pour sa part, la police catalane a ouvert une enquête immédiatement après la disparition des appareils. Toutefois, les progrès dans l’affaire restent limités. Quoiqu’il soit difficile de quantifier les dommages économiques engendrés par ce vol de 500 appareils, on sait, cependant, que leur coût est exorbitant. De plus, l’événement a soulevé des inquiétudes quant à la sécurité des données de leurs utilisateurs.
Les efforts de cet analyste ont permis de localiser d’autres appareils volés dans la région du Penedès (Catalogne), voire d’autres dérobés d’établissements scolaires andalous, dans le Sud du pays.
La plupart de ces terminaux portent la sérigraphie du gouvernement catalan, ce qui a permis de confirmer qu’il s’agit bel et bien d’appareils volés d’établissements scolaires publics catalans.
L’hypothèse est que ces appareils ont été transportés par voie terrestre vers le Sud du pays avant de traverser le Détroit. Après avoir transité dans des entrepôts – que l’investigation a localisés –, ils ont été distribués à des commerçants de détail, qui revendent les appareils à deux fois moins le prix réel.
En l’absence de coopération policière, les contrebandiers agissent en toute impunité
Selon la même source, les revendeurs ne se sont même pas donné la peine d’enlever les marques de la Generalitat des ordinateurs. Ils sont parfaitement conscients de leur origine douteuse, mais ils savent également que les autorités européennes sont impuissantes pour agir dans le Maroc. D’autant plus qu’il est rare que la police marocaine réponde aux demandes de collaboration de leurs homologues étrangers, poursuit le document.
Dans un entretien avec l’enquêteur, ce dernier a regretté le «manque de coopération des autorités marocaines dans cette affaire, car il n'a pas reçu de réponse à ses contacts. Ce qui complique les efforts pour récupérer les appareils ou arrêter les réseaux de contrebande transfrontalière».
Par contre, les malfaiteurs n’ont pas publié d’images de ces appareils au niveau de leurs canaux promotionnels officiels par prudence.
Une investigation qui avance lentement
Pour sa part, la police catalane a ouvert une enquête immédiatement après la disparition des appareils. Toutefois, les progrès dans l’affaire restent limités. Quoiqu’il soit difficile de quantifier les dommages économiques engendrés par ce vol de 500 appareils, on sait, cependant, que leur coût est exorbitant. De plus, l’événement a soulevé des inquiétudes quant à la sécurité des données de leurs utilisateurs.