S'exprimant lors de la 10e Assemblée générale du Réseau des parlementaires africains pour l’évaluation du développement (APNODE), M. Hejira a souligné que, face à une conjoncture internationale marquée par l’émergence de nouvelles alliances régionales structurées, les pays africains sont appelés à renforcer leur coordination afin d’accompagner ces mutations.
Il a, dans ce sens, mis en avant le rôle central de l’Union africaine dans la mise en œuvre de l’Agenda 2063, qui trace une vision claire pour le développement du continent, fondée sur l’intégration économique et politique, la coopération Sud-Sud et la complémentarité entre les pays africains.
Sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc contribue pleinement à cette dynamique continentale, a souligné le Secrétaire d’État, mettant en relief l’importance accordée par le Maroc au développement du commerce intra-africain.
Il a ainsi rappelé les initiatives engagées par le Maroc en faveur de l'intégration africaine, notamment la participation active à la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf), le transfert d’expertise et la facilitation de l’accès des produits africains au marché marocain.
Les chantiers industriels lancés par le Royaume au cours des deux dernières décennies ont profondément transformé le tissu productif national, faisant du secteur industriel un moteur essentiel de croissance, d’emploi et d’exportation, a-t-il soutenu.
Il a aussi noté que cette dynamique s’appuie sur des investissements significatifs dans les infrastructures, la logistique, les énergies renouvelables et le renforcement de la compétitivité des entreprises marocaines.
Cette transformation, a-t-il poursuivi, se manifeste dans les provinces du Sud, où des projets structurants ont été développés pour accompagner la métamorphose des villes de Laâyoune et Dakhla, devenues des pôles économiques émergents.
Il a cité, à cet égard, les zones industrielles et logistiques, les projets agricoles d’envergure, les infrastructures énergétiques et hydriques, ainsi que le projet stratégique du port de Dakhla Atlantique, appelé à faciliter l’accès des pays du Sahel à l’océan atlantique.
Et de conclure que l’évaluation des politiques publiques représente un levier essentiel pour améliorer leur efficacité, saluant le rôle de l'APNODE dans la promotion d’une culture africaine de l’évaluation et le renforcement des capacités parlementaires au service d’une gouvernance inclusive.
Il a, dans ce sens, mis en avant le rôle central de l’Union africaine dans la mise en œuvre de l’Agenda 2063, qui trace une vision claire pour le développement du continent, fondée sur l’intégration économique et politique, la coopération Sud-Sud et la complémentarité entre les pays africains.
Sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc contribue pleinement à cette dynamique continentale, a souligné le Secrétaire d’État, mettant en relief l’importance accordée par le Maroc au développement du commerce intra-africain.
Il a ainsi rappelé les initiatives engagées par le Maroc en faveur de l'intégration africaine, notamment la participation active à la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf), le transfert d’expertise et la facilitation de l’accès des produits africains au marché marocain.
Les chantiers industriels lancés par le Royaume au cours des deux dernières décennies ont profondément transformé le tissu productif national, faisant du secteur industriel un moteur essentiel de croissance, d’emploi et d’exportation, a-t-il soutenu.
Il a aussi noté que cette dynamique s’appuie sur des investissements significatifs dans les infrastructures, la logistique, les énergies renouvelables et le renforcement de la compétitivité des entreprises marocaines.
Cette transformation, a-t-il poursuivi, se manifeste dans les provinces du Sud, où des projets structurants ont été développés pour accompagner la métamorphose des villes de Laâyoune et Dakhla, devenues des pôles économiques émergents.
Il a cité, à cet égard, les zones industrielles et logistiques, les projets agricoles d’envergure, les infrastructures énergétiques et hydriques, ainsi que le projet stratégique du port de Dakhla Atlantique, appelé à faciliter l’accès des pays du Sahel à l’océan atlantique.
Et de conclure que l’évaluation des politiques publiques représente un levier essentiel pour améliorer leur efficacité, saluant le rôle de l'APNODE dans la promotion d’une culture africaine de l’évaluation et le renforcement des capacités parlementaires au service d’une gouvernance inclusive.
