Le Secrétaire d’État auprès de la ministre de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille, chargé de l’Insertion sociale, Abdeljabbar Rachidi, a pris part, aux côtés d’autres spécialistes, à une émission spéciale diffusée sur 2M et consacrée aux récentes menées par le collectif de jeunes “GenZ212”.
Il y a livré sa lecture d’un mouvement en quête de changement à travers une mobilisation massive, d’abord dans l’espace virtuel, puis sur le terrain.
Intervenant à cette occasion, le Secrétaire d'Etat a indiqué que la jeunesse a toujours été une force motrice dans l’espace public, notamment à travers les formations politiques actives ayant, au fil des années, contribué à impulser des réformes constitutionnelles historiques. La différence qui s’impose aujourd’hui, ajoute-t-il, est que cette jeunesse a fait de l’espace virtuel un véritable espace public de débat et d’expression collective.
« Nous sommes désormais face à l’émergence d’institutions virtuelles qui produisent une opinion et une élite, d’où l’importance du dialogue pour l’engager dans les réformes », souligne le responsable.
Sur le plateau de 2M, Abdeljabbar Rachidi a reconnu la légitimité des revendications brandies par le mouvement “GenZ”, tout en rejetant l’émergence de ce qu’il a qualifié de revendications « étrangères » et « exagérées », notamment celles appelant à la dissolution des institutions.
Dans le domaine de la santé, un secteur qui a occupé une place centrale dans le débat tant dans la rue que dans l’émission de 2M, Rachidi a regretté la persistance de problèmes de gouvernance menaçant l’efficacité des réformes engagées.
À cela s’ajoute le manque de ressources humaines dans le domaine de la santé, qui aggrave la situation d’un secteur ayant besoin de près de 30.000 médecins pour répondre aux besoins de toutes les régions. Or, le nombre de médecins formés chaque année reste insuffisant pour combler ce déficit. Sans oublier les pratiques non responsables de certains médecins qui désertent leur poste dans les hôpitaux publics pour exercer dans les cliniques privées, s’est t-il alarmé.
Il y a livré sa lecture d’un mouvement en quête de changement à travers une mobilisation massive, d’abord dans l’espace virtuel, puis sur le terrain.
Intervenant à cette occasion, le Secrétaire d'Etat a indiqué que la jeunesse a toujours été une force motrice dans l’espace public, notamment à travers les formations politiques actives ayant, au fil des années, contribué à impulser des réformes constitutionnelles historiques. La différence qui s’impose aujourd’hui, ajoute-t-il, est que cette jeunesse a fait de l’espace virtuel un véritable espace public de débat et d’expression collective.
« Nous sommes désormais face à l’émergence d’institutions virtuelles qui produisent une opinion et une élite, d’où l’importance du dialogue pour l’engager dans les réformes », souligne le responsable.
Sur le plateau de 2M, Abdeljabbar Rachidi a reconnu la légitimité des revendications brandies par le mouvement “GenZ”, tout en rejetant l’émergence de ce qu’il a qualifié de revendications « étrangères » et « exagérées », notamment celles appelant à la dissolution des institutions.
Dans le domaine de la santé, un secteur qui a occupé une place centrale dans le débat tant dans la rue que dans l’émission de 2M, Rachidi a regretté la persistance de problèmes de gouvernance menaçant l’efficacité des réformes engagées.
À cela s’ajoute le manque de ressources humaines dans le domaine de la santé, qui aggrave la situation d’un secteur ayant besoin de près de 30.000 médecins pour répondre aux besoins de toutes les régions. Or, le nombre de médecins formés chaque année reste insuffisant pour combler ce déficit. Sans oublier les pratiques non responsables de certains médecins qui désertent leur poste dans les hôpitaux publics pour exercer dans les cliniques privées, s’est t-il alarmé.
En réponse aux critiques concernant les équipements médicaux défaillants dans plusieurs hôpitaux, notamment à l’hôpital régional d’Agadir, qui a été l'un des éléments déclencheurs de la colère, Abdeljabbar Rachidi a précisé que la disponibilité des équipements et des ressources humaines dans les établissements hospitaliers constitue l’un des objectifs mêmes de la création des groupements territoriaux de santé.
Selon M. Rachdi, la gestion régionale de l'offre de soins, permet d'améliorer la rapprocher les soins du citoyen.
Le responsable a réaffirmé la prédisposition du gouvernement au dialogue avec le mouvement “GenZ”, en vue d’en faire une force motrice pour accélérer le changement dans des secteurs aussi vitaux que la santé et l’éducation.
Il a toutefois regretté l’absence d’une élite encadrante pour ce mouvement, à l’instar de celle qui avait émergé lors du mouvement du 20 février, et qui aurait pu faciliter l’activation des mécanismes de médiation. Une médiation que le groupe “GenZ” rejette, en raison de ce qu’il considère comme une perte de confiance envers le gouvernement actuel.
Selon M. Rachdi, la gestion régionale de l'offre de soins, permet d'améliorer la rapprocher les soins du citoyen.
Le responsable a réaffirmé la prédisposition du gouvernement au dialogue avec le mouvement “GenZ”, en vue d’en faire une force motrice pour accélérer le changement dans des secteurs aussi vitaux que la santé et l’éducation.
Il a toutefois regretté l’absence d’une élite encadrante pour ce mouvement, à l’instar de celle qui avait émergé lors du mouvement du 20 février, et qui aurait pu faciliter l’activation des mécanismes de médiation. Une médiation que le groupe “GenZ” rejette, en raison de ce qu’il considère comme une perte de confiance envers le gouvernement actuel.