
Selon les forces de l'ordre, près de 1000 migrants originaires de plusieurs pays avaient planifié un assaut collectif contre la clôture qui sépare le préside occupé du reste du Maroc. Bien avant cette opération, les services de renseignement marocains avaient constaté une activité suspecte et inusitée parmi les réseaux de migration illégale. Les départements de renseignement espagnols ont eux aussi noté une activité peu commune parmi les membres de ces réseaux de l'autre côté de la Méditerranée.