Prendrai pas, prendrai pas, est l’indécise décision du futur président du Moghreb Athlétic de Tétouan à quelques jours seulement de la tenue de l’assemblée générale.
Il est certes que, sous la houlette de Redouane Ghazi, l’équipe de la colombe blanche a enregistré son retour chez les grands de la Botola professionnelle I, mais la constitution d’un nouveau comité a soulevé un certain nombre d'interrogations sur l'avenir ambigu du football tétouanais.
Encore une fois, l’éventuelle élection d’un nouveau « patron » semble une polémique qui fera couler beaucoup d’encre d’autant plus que la participation à une compétition de niveau supérieure exige un important budget de fonctionnement à l’heure où les recettes deviennent de plus en plus rares pour manque de sponsors ou parrains.
Devant une situation trop confuse et peu claire, le président en fonction Redouane Ghazi, a l’intention de claquer la porte et d’annoncer son départ : « L’essentiel est que le MAT est de nouveau en première division. J’ai tenu ma promesse et je n’ai pas abandonné l’équipe après sa relégation en deuxième division ».
Une réflexion qui donne beaucoup à réfléchir sur sa continuité à la présidence.
Au secrétariat général, on signale qu’aucun candidat n'a encore déposé sa liste ou sa candidature.
Parmi les conclusions à tirer, figure la possibilité de se diriger vers un comité "intérimaire" pour gérer les affaires du MAT.
Concurrence négative, ambigüité, manque de transparence, il y a un peu de tout dans la volonté de l’actuel président dans le renouvellement de son mandat.
Rien n’est clair dans la future gestion administrative de l’équipe pour les quatre prochaines années.
L’assemblée générale 2022-23 sera une assemblée électorale.
Autant d'inquiétudes qui affligent désormais l'opinion publique sportive tétouanaise et qui ont incité de nombreuses pages concernées par les affaires du club à ouvrir des discussions approfondies avec les anciens dirigeants impliqués pour identifier les lacunes et pousser à trouver des solutions possibles pour surmonter la crise actuelle.
Face à l'absence de "garanties réelles limitées dans le temps et dans l'espace de la part des hautes autorités", aucune personnalité ne semble intéresser à diriger l’équipe ou à investir son argent dans le projet football.
A ce sujet, Fouzi Lekjaâ, qui vient d'être réélu pour un nouveau mandat à la tête de la Fédération Royale Marocaine de Football, avait auparavant fait une déclaration médiatique dans laquelle il soulignait la nécessité pour les clubs sportifs d'aligner leur position sur la loi sur les sociétés afin de leur permettre d'entrer à la ligue professionnelle la saison prochaine, ce qui constitue à dire que le MAT a l’obligation de se convertir en société anonyme dans les prochains jours.
La balle est désormais dans le camp des autorités locales et élus, qui ont joué un rôle important pour relancer l'équipe et assurer son retour rapide sur le devant de la scène.
De par la relation de tutelle indirecte, les hommes politiques qui dirigent la Wilaya sont devenus le vrai incubateur officiel du club et une adresse directe à sa direction actuelle ou future lesquelles sont condamnées à prendre l'initiative devant la situation de blocage.
Dans les coulisses, l’on parle incessamment de l’éventuel retour à la présidence de l’ancien président Abdelmalek Abroun d’autant plus que ce dernier a récupéré la confiance de Fouzi Lekjaâ qui vient de le nommer président de la commission des infrastructures marocaines à la FRMF.
De nombreux supporters du club tétouanais estiment qu’il s’agit d’un message crypté que l'homme jouit toujours de la confiance du premier responsable en charge du football au Maroc et un indicateur sur la possibilité d'annoncer sa candidature à tout moment à la présidence du Moghreb Tétouan, à l’heure où le club tétouanais a besoin de quelqu'un siégeant au sein de l'équipe fédérale pour défendre ses intérêts et le protéger des traditionnelles conspirations et le ramener à nouveau sur le devant de la scène footballistique.
Mais pour le moment, ni Redouane Ghazi, ni Abdelmalek Abroun n’ont donné aucun signe de vie et aucune candidature à la présidence n’est annoncée.
Le MAT est toujours dans l’impasse.
Il est certes que, sous la houlette de Redouane Ghazi, l’équipe de la colombe blanche a enregistré son retour chez les grands de la Botola professionnelle I, mais la constitution d’un nouveau comité a soulevé un certain nombre d'interrogations sur l'avenir ambigu du football tétouanais.
Encore une fois, l’éventuelle élection d’un nouveau « patron » semble une polémique qui fera couler beaucoup d’encre d’autant plus que la participation à une compétition de niveau supérieure exige un important budget de fonctionnement à l’heure où les recettes deviennent de plus en plus rares pour manque de sponsors ou parrains.
Devant une situation trop confuse et peu claire, le président en fonction Redouane Ghazi, a l’intention de claquer la porte et d’annoncer son départ : « L’essentiel est que le MAT est de nouveau en première division. J’ai tenu ma promesse et je n’ai pas abandonné l’équipe après sa relégation en deuxième division ».
Une réflexion qui donne beaucoup à réfléchir sur sa continuité à la présidence.
Au secrétariat général, on signale qu’aucun candidat n'a encore déposé sa liste ou sa candidature.
Parmi les conclusions à tirer, figure la possibilité de se diriger vers un comité "intérimaire" pour gérer les affaires du MAT.
Concurrence négative, ambigüité, manque de transparence, il y a un peu de tout dans la volonté de l’actuel président dans le renouvellement de son mandat.
Rien n’est clair dans la future gestion administrative de l’équipe pour les quatre prochaines années.
L’assemblée générale 2022-23 sera une assemblée électorale.
Autant d'inquiétudes qui affligent désormais l'opinion publique sportive tétouanaise et qui ont incité de nombreuses pages concernées par les affaires du club à ouvrir des discussions approfondies avec les anciens dirigeants impliqués pour identifier les lacunes et pousser à trouver des solutions possibles pour surmonter la crise actuelle.
Face à l'absence de "garanties réelles limitées dans le temps et dans l'espace de la part des hautes autorités", aucune personnalité ne semble intéresser à diriger l’équipe ou à investir son argent dans le projet football.
A ce sujet, Fouzi Lekjaâ, qui vient d'être réélu pour un nouveau mandat à la tête de la Fédération Royale Marocaine de Football, avait auparavant fait une déclaration médiatique dans laquelle il soulignait la nécessité pour les clubs sportifs d'aligner leur position sur la loi sur les sociétés afin de leur permettre d'entrer à la ligue professionnelle la saison prochaine, ce qui constitue à dire que le MAT a l’obligation de se convertir en société anonyme dans les prochains jours.
La balle est désormais dans le camp des autorités locales et élus, qui ont joué un rôle important pour relancer l'équipe et assurer son retour rapide sur le devant de la scène.
De par la relation de tutelle indirecte, les hommes politiques qui dirigent la Wilaya sont devenus le vrai incubateur officiel du club et une adresse directe à sa direction actuelle ou future lesquelles sont condamnées à prendre l'initiative devant la situation de blocage.
Dans les coulisses, l’on parle incessamment de l’éventuel retour à la présidence de l’ancien président Abdelmalek Abroun d’autant plus que ce dernier a récupéré la confiance de Fouzi Lekjaâ qui vient de le nommer président de la commission des infrastructures marocaines à la FRMF.
De nombreux supporters du club tétouanais estiment qu’il s’agit d’un message crypté que l'homme jouit toujours de la confiance du premier responsable en charge du football au Maroc et un indicateur sur la possibilité d'annoncer sa candidature à tout moment à la présidence du Moghreb Tétouan, à l’heure où le club tétouanais a besoin de quelqu'un siégeant au sein de l'équipe fédérale pour défendre ses intérêts et le protéger des traditionnelles conspirations et le ramener à nouveau sur le devant de la scène footballistique.
Mais pour le moment, ni Redouane Ghazi, ni Abdelmalek Abroun n’ont donné aucun signe de vie et aucune candidature à la présidence n’est annoncée.
Le MAT est toujours dans l’impasse.
