Un contrat de nappe a pour but de préserver les eaux souterraines dans un territoire déterminé selon un mode de gestion participatif de ces eaux. Il permet de fixer les modalités de gestion d’un système aquifère en fixant les seuils de consommation d’eau à respecter par tous les usagers, en premier plan agricoles.
Un tel système de gestion est impératif pour une région au climat aussi aride et à l’agriculture aussi dépendante des nappes souterraines que le Sud-Est marocain. Les pluies de février et mars derniers ont permis de revigorer le bassin Guir-Ziz-Gheris en fournissant 41,5 millions de mètres cube. Cependant, on est loin d’une situation hydrique stable et durable pour le bassin.
La mise en place de ce système de gestion dans la région s’inscrit dans une politique plus large de construction de nouvelles retenues collinaires dans la région telles les barrages « Amsaad » et « Kheng El Maider » dans la province de Tinghir, et le barrage Taghoucht dans la province d’Errachidia.
Pour rappel, le bassin Guir-Ziz-Rhéris a connu six années consécutives de sécheresse. Au 31 décembre 2024, le taux de remplissage des barrages de la région était de 54%, contre seulement 19% à la même date l’année précédente. Toutefois, grâce aux précipitations salvatrices qu’a connues la région au premier trimestre 2025, le volume des apports en eau dans les barrages relevant de ce bassin a atteint 279 millions de m3, un excédent de 62% par rapport à la moyenne annuelle.
Un tel système de gestion est impératif pour une région au climat aussi aride et à l’agriculture aussi dépendante des nappes souterraines que le Sud-Est marocain. Les pluies de février et mars derniers ont permis de revigorer le bassin Guir-Ziz-Gheris en fournissant 41,5 millions de mètres cube. Cependant, on est loin d’une situation hydrique stable et durable pour le bassin.
La mise en place de ce système de gestion dans la région s’inscrit dans une politique plus large de construction de nouvelles retenues collinaires dans la région telles les barrages « Amsaad » et « Kheng El Maider » dans la province de Tinghir, et le barrage Taghoucht dans la province d’Errachidia.
Pour rappel, le bassin Guir-Ziz-Rhéris a connu six années consécutives de sécheresse. Au 31 décembre 2024, le taux de remplissage des barrages de la région était de 54%, contre seulement 19% à la même date l’année précédente. Toutefois, grâce aux précipitations salvatrices qu’a connues la région au premier trimestre 2025, le volume des apports en eau dans les barrages relevant de ce bassin a atteint 279 millions de m3, un excédent de 62% par rapport à la moyenne annuelle.