Les intervenants à cette rencontre organisée par le département Humanités de la faculté des Sciences Semlalia et le laboratoire LIMPACT (Langue, Identité Médias, Patrimoine Culture et Tourisme), en partenariat avec Carrer Center, ont relevé que l’université est appelée à jouer un rôle accru dans le cadre du développement des compétences transversales, qui sont devenues de plus en plus importantes dans le monde de l'emploi, où les entreprises cherchent des candidats en mesure de s'adapter rapidement avec de nouveaux défis.
Intervenant à cette occasion, le président de l’Université Cadi Ayyad (UCA), Moulay Lhassan Hbid, a mis l’accent sur la stratégie nationale pour l’accélération de promotion de l’enseignement supérieur, la recherche scientifique et l’innovation au niveau des universités marocaines, relevant que l’UCA, à l’instar des autres universités marocaines, est en cours de création de nouvelles filières innovantes et adaptées avec les évolutions socioéconomiques nationales et internationales.
La création de ces nouvelles filières vise à lutter contre le décrochage universitaire et l’adaptation des formations avec le marché de l’emploi, a-t-il enchainé, indiquant que le Maroc ambitionne de créer des filières d’excellence au sein des universités marocaines à accès ouvert de nature à permettre aux étudiants d’être performant dans leurs spécialités.
Et de faire que la stratégie de promotion de l’enseignement supérieur et la recherche scientifique et la création d’une nouvelle génération d’universités requièrent l’adhésion effective de tous les intervenants dans ce chantier national afin de faire de l’université marocaine des établissements innovants.
De son côté, le doyen de la Faculté des Lettres et des Sciences humaines de Marrakech, Abderrahim Benali, a relevé que les compétences requises pour réussir dans une carrière doivent s’adapter avec l’évolution constante du monde du travail, indiquant que le ministère, dans le cadre du Plan national d’accélération de la Transformation de l’écosystème de l’ESRI, a entamé la réforme pédagogique qui vise à mettre en place un nouveau cahier de normes pédagogiques et de nouvelles filières plus adaptées à répondre aux besoins du monde du travail.
Le ministère de tutelle, a-t-il poursuivi, a introduit dans le cursus et à tous les niveaux des modules et des enseignements relatifs aux compétences transversales. L’objectif étant de permettre aux étudiants de mieux s’armer et s’intégrer plus après l’obtention de leurs diplômes.
"L’étudiant aujourd’hui doit attester d’un grade et d’un niveau de connaissance dans la discipline mais également de l’acquisition des compétences de soft skills, qui sont devenus de plus en plus importantes dans le monde d’aujourd’hui, où les entreprises cherchent des candidats qui peuvent s’adapter rapidement à de nouveaux défis", a-t-il fait remarquer.
Le doyen de la Faculté des Sciences Semlalia, El Hassan El Mouden, a pour sa part, mis l’accent sur le rôle de l’université dans la formation des étudiants mais surtout leur insertion professionnelle après l’obtention de leurs diplômes universitaires, et leur qualification à prévoir les métiers de demain et à opter pour l’efficacité et l’adaptation devant les changements continus des marchés de travail et des mondes de l’emploi.
Tout en relevant que ce colloque fait écho avec la réforme universitaire que le ministère de l’enseignement supérieur compte lancer à partir de la rentrée universitaire prochaine, il a indiqué que la nouvelle architecture des licences fondamentales et des masters donne une grande importance aux modules transversaux, qui vont participer certainement à la construction de compétences transversales chez les étudiantes de l’université marocaine.
Cette composante de savoir, de savoir-faire et de savoir-être se composent d’une série de modules de langues étrangères et de power skills (soft skills, digital skills, culture et art skills, employment skills), a-t-il précisé.
Ce colloque international de deux jours, réunit des enseignants universitaires, des experts dans l’employabilité et des connaisseurs du marché de travail et du monde de l’emploi, venus échanger avec des experts et découvrir les dernières tendances, enjeux et innovations dans le domaine des compétences transversales.
Au menu de cette rencontre figurent des ateliers, un webinaire et des conférences plénières rehaussés par la participation d’intervenants nationaux et étrangers.
Intervenant à cette occasion, le président de l’Université Cadi Ayyad (UCA), Moulay Lhassan Hbid, a mis l’accent sur la stratégie nationale pour l’accélération de promotion de l’enseignement supérieur, la recherche scientifique et l’innovation au niveau des universités marocaines, relevant que l’UCA, à l’instar des autres universités marocaines, est en cours de création de nouvelles filières innovantes et adaptées avec les évolutions socioéconomiques nationales et internationales.
La création de ces nouvelles filières vise à lutter contre le décrochage universitaire et l’adaptation des formations avec le marché de l’emploi, a-t-il enchainé, indiquant que le Maroc ambitionne de créer des filières d’excellence au sein des universités marocaines à accès ouvert de nature à permettre aux étudiants d’être performant dans leurs spécialités.
Et de faire que la stratégie de promotion de l’enseignement supérieur et la recherche scientifique et la création d’une nouvelle génération d’universités requièrent l’adhésion effective de tous les intervenants dans ce chantier national afin de faire de l’université marocaine des établissements innovants.
De son côté, le doyen de la Faculté des Lettres et des Sciences humaines de Marrakech, Abderrahim Benali, a relevé que les compétences requises pour réussir dans une carrière doivent s’adapter avec l’évolution constante du monde du travail, indiquant que le ministère, dans le cadre du Plan national d’accélération de la Transformation de l’écosystème de l’ESRI, a entamé la réforme pédagogique qui vise à mettre en place un nouveau cahier de normes pédagogiques et de nouvelles filières plus adaptées à répondre aux besoins du monde du travail.
Le ministère de tutelle, a-t-il poursuivi, a introduit dans le cursus et à tous les niveaux des modules et des enseignements relatifs aux compétences transversales. L’objectif étant de permettre aux étudiants de mieux s’armer et s’intégrer plus après l’obtention de leurs diplômes.
"L’étudiant aujourd’hui doit attester d’un grade et d’un niveau de connaissance dans la discipline mais également de l’acquisition des compétences de soft skills, qui sont devenus de plus en plus importantes dans le monde d’aujourd’hui, où les entreprises cherchent des candidats qui peuvent s’adapter rapidement à de nouveaux défis", a-t-il fait remarquer.
Le doyen de la Faculté des Sciences Semlalia, El Hassan El Mouden, a pour sa part, mis l’accent sur le rôle de l’université dans la formation des étudiants mais surtout leur insertion professionnelle après l’obtention de leurs diplômes universitaires, et leur qualification à prévoir les métiers de demain et à opter pour l’efficacité et l’adaptation devant les changements continus des marchés de travail et des mondes de l’emploi.
Tout en relevant que ce colloque fait écho avec la réforme universitaire que le ministère de l’enseignement supérieur compte lancer à partir de la rentrée universitaire prochaine, il a indiqué que la nouvelle architecture des licences fondamentales et des masters donne une grande importance aux modules transversaux, qui vont participer certainement à la construction de compétences transversales chez les étudiantes de l’université marocaine.
Cette composante de savoir, de savoir-faire et de savoir-être se composent d’une série de modules de langues étrangères et de power skills (soft skills, digital skills, culture et art skills, employment skills), a-t-il précisé.
Ce colloque international de deux jours, réunit des enseignants universitaires, des experts dans l’employabilité et des connaisseurs du marché de travail et du monde de l’emploi, venus échanger avec des experts et découvrir les dernières tendances, enjeux et innovations dans le domaine des compétences transversales.
Au menu de cette rencontre figurent des ateliers, un webinaire et des conférences plénières rehaussés par la participation d’intervenants nationaux et étrangers.
