
Alors que les manifestations du mouvement GenZ212 se poursuivent dans plusieurs villes du Royaume, prenant parfois des tournures violentes, Marrakech a accueilli, les 1er et 2 octobre, la cinquième édition du World Power-toX Summit, un événement qui réunit décideurs publics, industriels et chercheurs autour des perspectives de développement de l’hydrogène vert.
Si les deux sujets paraissent sans lien, les tensions sociales ont néanmoins jeté leur ombre sur l’événement, ravivant le débat autour de l’emploi des jeunes. Dans son discours, la ministre de la Transition énergétique, Leila Benali, a d’ailleurs insisté sur le rôle central de la jeunesse dans le développement de l’économie de l’hydrogène vert.
Dans un monde en pleine transformation, il est essentiel de réfléchir aux moyens d’inscrire la jeunesse dans des projets porteurs d’avenir, qui lui permettent d’exprimer pleinement sa créativité et de contribuer à la construction d’une économie durable.
Qu’il s’agisse de l’hydrogène vert en particulier ou des énergies renouvelables dans leur ensemble, ces métiers d’avenir exigent des compétences pointues et une formation adaptée aux nouveaux défis technologiques. Bien sûr, ils ne suffiront pas à résorber le chômage, mais combinés à d’autres secteurs porteurs, tels que l’Intelligence Artificielle dans ses multiples applications et les industries innovantes, ils peuvent contribuer à redessiner le marché de l’emploi et offrir de réelles perspectives à la jeunesse.
De plus, les annonces faites par la ministre dans ce même discours, qu’il s’agisse de l’équipement futur du port Nador West Med d’une unité flottante de stockage et de regazéification du gaz naturel liquéfié (GNL) ou encore du projet de gazoduc Afrique-Atlantique, démontrent que, malgré les tensions actuelles, le Maroc demeure confiant dans ses grandes orientations et résolument engagé dans les projets structurants qui porteront son décollage économique au cours des prochaines années.
Si les deux sujets paraissent sans lien, les tensions sociales ont néanmoins jeté leur ombre sur l’événement, ravivant le débat autour de l’emploi des jeunes. Dans son discours, la ministre de la Transition énergétique, Leila Benali, a d’ailleurs insisté sur le rôle central de la jeunesse dans le développement de l’économie de l’hydrogène vert.
Dans un monde en pleine transformation, il est essentiel de réfléchir aux moyens d’inscrire la jeunesse dans des projets porteurs d’avenir, qui lui permettent d’exprimer pleinement sa créativité et de contribuer à la construction d’une économie durable.
Qu’il s’agisse de l’hydrogène vert en particulier ou des énergies renouvelables dans leur ensemble, ces métiers d’avenir exigent des compétences pointues et une formation adaptée aux nouveaux défis technologiques. Bien sûr, ils ne suffiront pas à résorber le chômage, mais combinés à d’autres secteurs porteurs, tels que l’Intelligence Artificielle dans ses multiples applications et les industries innovantes, ils peuvent contribuer à redessiner le marché de l’emploi et offrir de réelles perspectives à la jeunesse.
De plus, les annonces faites par la ministre dans ce même discours, qu’il s’agisse de l’équipement futur du port Nador West Med d’une unité flottante de stockage et de regazéification du gaz naturel liquéfié (GNL) ou encore du projet de gazoduc Afrique-Atlantique, démontrent que, malgré les tensions actuelles, le Maroc demeure confiant dans ses grandes orientations et résolument engagé dans les projets structurants qui porteront son décollage économique au cours des prochaines années.