La quinine est un traitement destiné à soigner les formes graves de la paludisme et on lui attribue un effet anti-crampes. On la retrouve aussi dans les boissons toniques comme, justement, Schweppes tonic.
La quinine est un alcaloïde (molécule ayant des propriétés pharmacologiques) employé dans le traitement de la malaria, en complément d’un autre médicament. Elle est également indiquée pour soulager les crampes musculaires et réguler le rythme cardiaque. La quinine provient d’un arbuste (le quinquina) que l’on trouve dans les Andes en Amérique du Sud.
Efficace dans le traitement de la malaria, la quinine peut, dans certains cas, être toxique pour le système nerveux, en cas de consommation excessive, bien entendu. La bonne nouvelle est que la quantité de quinine contenue dans le Schweppes tonic reste logique.
Il convient toutefois de noter que les médecins conseillent aux personnes qui en consomment quotidiennement de la remplacer par de la quinacrine et de la chloroquine, car plus légères et sans grandes conséquences sur le système nerveux.
La quinine reste, sans conteste, un antipaludique efficace, même si certaines souches sont devenues résistantes du fait de son utilisation généralisée, ce qui fait qu’elle n’est plus le traitement de base des crises de paludisme sévères.
La quinine est un alcaloïde (molécule ayant des propriétés pharmacologiques) employé dans le traitement de la malaria, en complément d’un autre médicament. Elle est également indiquée pour soulager les crampes musculaires et réguler le rythme cardiaque. La quinine provient d’un arbuste (le quinquina) que l’on trouve dans les Andes en Amérique du Sud.
Efficace dans le traitement de la malaria, la quinine peut, dans certains cas, être toxique pour le système nerveux, en cas de consommation excessive, bien entendu. La bonne nouvelle est que la quantité de quinine contenue dans le Schweppes tonic reste logique.
Il convient toutefois de noter que les médecins conseillent aux personnes qui en consomment quotidiennement de la remplacer par de la quinacrine et de la chloroquine, car plus légères et sans grandes conséquences sur le système nerveux.
La quinine reste, sans conteste, un antipaludique efficace, même si certaines souches sont devenues résistantes du fait de son utilisation généralisée, ce qui fait qu’elle n’est plus le traitement de base des crises de paludisme sévères.
