Si la consommation de stupéfiants chez les jeunes a toujours constitué un problème de société, les types de substances, les modes de consommation et les réseaux de distribution ne cessent d’évoluer, entraînant, hélas, des conséquences de plus en plus dramatiques.
Le rapport 2025 de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) met ainsi en lumière une évolution préoccupante des nouvelles tendances de consommation chez les mineurs et les jeunes adultes âgés de 18 à 24 ans. Selon les données présentées dans le document, si la consommation de drogues dites douces, comme le cannabis, semble stagner, d’autres indicateurs révèlent une hausse alarmante de l’usage détourné de médicaments à visée thérapeutique.
Chez les mineurs, la consommation non médicale de produits pharmaceutiques à des fins récréatives, notamment de sédatifs et d’antalgiques, a augmenté de 10%. Ces molécules sont recherchées pour leurs effets euphorisants, en substitution à des drogues illicites plus onéreuses ou moins accessibles. Parmi les antalgiques les plus connus et préoccupants figure le Tramadol, un opioïde, c’est-à-dire une substance qui agit sur le système nerveux central pour atténuer la douleur et produire une sensation de bienêtre, au prix d’un fort risque de dépendance. Cette dérive nous rappelle la crise des opioïdes qui touche plusieurs pays dans le monde, notamment les États-Unis, où cette épidémie a causé environ 80.400 décès dus aux overdoses en 2024. Cette tendance est d’autant plus inquiétante qu’elle touche des mineurs et des adolescents, une période de la vie où ils sont particulièrement vulnérables aux influences extérieures qui peuvent les détourner de leur scolarité et compromettre durablement leur avenir. Ce n’est un secret pour personne que l’initiation à ces drogues se fait souvent au sein même des établissements scolaires, dans les quartiers environnants, mais aussi, de plus en plus, via les réseaux sociaux.
Il revient d’abord aux parents de surveiller les fréquentations et les loisirs de leurs enfants, mais il leur arrive souvent de se retrouver démunis face à ce fléau. C’est pourquoi des campagnes de prévention et de sensibilisation s’imposent dans les écoles, à la télévision et sur internet, afin d’alerter sur ce danger mortel qui guette une partie de notre jeunesse.
Le rapport 2025 de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) met ainsi en lumière une évolution préoccupante des nouvelles tendances de consommation chez les mineurs et les jeunes adultes âgés de 18 à 24 ans. Selon les données présentées dans le document, si la consommation de drogues dites douces, comme le cannabis, semble stagner, d’autres indicateurs révèlent une hausse alarmante de l’usage détourné de médicaments à visée thérapeutique.
Chez les mineurs, la consommation non médicale de produits pharmaceutiques à des fins récréatives, notamment de sédatifs et d’antalgiques, a augmenté de 10%. Ces molécules sont recherchées pour leurs effets euphorisants, en substitution à des drogues illicites plus onéreuses ou moins accessibles. Parmi les antalgiques les plus connus et préoccupants figure le Tramadol, un opioïde, c’est-à-dire une substance qui agit sur le système nerveux central pour atténuer la douleur et produire une sensation de bienêtre, au prix d’un fort risque de dépendance. Cette dérive nous rappelle la crise des opioïdes qui touche plusieurs pays dans le monde, notamment les États-Unis, où cette épidémie a causé environ 80.400 décès dus aux overdoses en 2024. Cette tendance est d’autant plus inquiétante qu’elle touche des mineurs et des adolescents, une période de la vie où ils sont particulièrement vulnérables aux influences extérieures qui peuvent les détourner de leur scolarité et compromettre durablement leur avenir. Ce n’est un secret pour personne que l’initiation à ces drogues se fait souvent au sein même des établissements scolaires, dans les quartiers environnants, mais aussi, de plus en plus, via les réseaux sociaux.
Il revient d’abord aux parents de surveiller les fréquentations et les loisirs de leurs enfants, mais il leur arrive souvent de se retrouver démunis face à ce fléau. C’est pourquoi des campagnes de prévention et de sensibilisation s’imposent dans les écoles, à la télévision et sur internet, afin d’alerter sur ce danger mortel qui guette une partie de notre jeunesse.
