La convention en question a été signée entre Leila Benali, ministre de la Transition énergétique et du développement durable, et son homologue Yasmine Fouad, ministre égyptienne de l’Environnement.
Elle s’inscrit dans l’objectif d’établir une coopération à travers plusieurs mécanismes à savoir l’échange d’expériences et d’informations,l’accès aux stratégies et politiques environnementales dans les deux pays,l’encouragement des partenariats au niveau des experts techniques et entre toutes les parties œuvrant dans le domaine de la protection de l’environnement dans les deux pays,la mise en œuvre d’études et de projets environnementaux conjoints,la coordination des positions entre les deux pays par la présence, la participation et l’échange de vues aux réunions de la Ligue des États arabes, de l’Assemblée des Nations unies pour l’environnement et d’autres organisations internationales officielles et non officielles.
La convention sera, en effet, établie dans plusieurs secteurs à savoir le cadre institutionnel et législatif de l’environnement et du développement durable, l’évaluation environnementale des projets,l’adaptation et l’atténuation des changements climatiques,le développement des énergies renouvelables,la gestion intégrée des zones côtières,la lutte contre la pollution marine,la gestion intégrée des déchets transfrontaliers solides et dangereux.
Elle s’inscrit dans l’objectif d’établir une coopération à travers plusieurs mécanismes à savoir l’échange d’expériences et d’informations,l’accès aux stratégies et politiques environnementales dans les deux pays,l’encouragement des partenariats au niveau des experts techniques et entre toutes les parties œuvrant dans le domaine de la protection de l’environnement dans les deux pays,la mise en œuvre d’études et de projets environnementaux conjoints,la coordination des positions entre les deux pays par la présence, la participation et l’échange de vues aux réunions de la Ligue des États arabes, de l’Assemblée des Nations unies pour l’environnement et d’autres organisations internationales officielles et non officielles.
La convention sera, en effet, établie dans plusieurs secteurs à savoir le cadre institutionnel et législatif de l’environnement et du développement durable, l’évaluation environnementale des projets,l’adaptation et l’atténuation des changements climatiques,le développement des énergies renouvelables,la gestion intégrée des zones côtières,la lutte contre la pollution marine,la gestion intégrée des déchets transfrontaliers solides et dangereux.
Par ailleurs, elle vise une coopération dans plusieurs domaines à savoir la gestion intégrée des réserves naturelles,la conservation de la biodiversité, la réhabilitation des écosystèmes, la planification environnementale pour le développement durable des zones urbaines et rurales,les indicateurs environnementaux,le développement durable,l’éducation environnementale,les technologies modernes, l’innovation environnementale,
les économies écologiques
