En conférence de presse ce dimanche, Regragui assure que le capitaine des Lions de l’Atlas disputera ses premières minutes dans la compétition, sans toutefois préciser s’il débutera la rencontre prévue lundi à 20 heures.
Remis d’une blessure contractée avant le tournoi, le latéral des Lions de l’Atlas a bénéficié d’une gestion jugée exemplaire par le staff marocain. Regragui n’a d’ailleurs pas manqué de remercier publiquement le PSG et son président Nasser Al-Khelaïfi pour leur collaboration.
Sur le plan sportif, le sélectionneur national a souligné l’importance capitale de Hakimi dans le dispositif marocain. « Aucun entraîneur au monde ne peut se passer de son Ballon d’Or africain. C’est plus qu’un leader, c’est mon principal relais sur le terrain », affirme-t-il, estimant que sa présence rendra le Maroc « encore plus solide » pour la suite de la compétition.
Regragui est également revenu sur la gestion de Brahim Diaz. Critiqué après sa sortie face au Mali, le technicien a réagi en estimant que le milieu offensif du Real est un chaînon clé de l’ossature et qu’il est capable de faire la différence à tout moment, tout en insistant sur la nécessité de préserver ses forces sur la durée du tournoi.
Conscient des attentes et des critiques, le sélectionneur a rappelé l’état d’esprit du groupe : exigence, solidarité et concentration sur l’objectif final. « On est une famille. On sait qu’on va souffrir, mais on reste focalisés. C’est à la fin du bal qu’on paie les musiciens », a-t-il conclu.
Remis d’une blessure contractée avant le tournoi, le latéral des Lions de l’Atlas a bénéficié d’une gestion jugée exemplaire par le staff marocain. Regragui n’a d’ailleurs pas manqué de remercier publiquement le PSG et son président Nasser Al-Khelaïfi pour leur collaboration.
Sur le plan sportif, le sélectionneur national a souligné l’importance capitale de Hakimi dans le dispositif marocain. « Aucun entraîneur au monde ne peut se passer de son Ballon d’Or africain. C’est plus qu’un leader, c’est mon principal relais sur le terrain », affirme-t-il, estimant que sa présence rendra le Maroc « encore plus solide » pour la suite de la compétition.
Regragui est également revenu sur la gestion de Brahim Diaz. Critiqué après sa sortie face au Mali, le technicien a réagi en estimant que le milieu offensif du Real est un chaînon clé de l’ossature et qu’il est capable de faire la différence à tout moment, tout en insistant sur la nécessité de préserver ses forces sur la durée du tournoi.
Conscient des attentes et des critiques, le sélectionneur a rappelé l’état d’esprit du groupe : exigence, solidarité et concentration sur l’objectif final. « On est une famille. On sait qu’on va souffrir, mais on reste focalisés. C’est à la fin du bal qu’on paie les musiciens », a-t-il conclu.























