Chaque fois que le rendez-vous des Jeux Olympiques et Paralympiques pointe à l’horizon, tous les sportifs et responsables marocains lorgnent vers le Comité National Olympique Marocain (CNOM) et partant se partagent les avis sur les sports susceptibles de nous mener vers la plus haute marche du podium. Pratiquement tous les athlètes qui accomplissent ce pèlerinage sportif vers la cité organisatrice Paris 24, en l’occurrence, espèrent se couvrir d’or, d’argent ou de bronze.
Dans cette compétition planétaire, toutes les médailles restent l’objet de convoitise de tous les participants. Ainsi, les activités sportives gagnent-elles en frénésie en tous genres : préparations, déplacements multiples, confrontations fréquentes, recherche des sparring-partners afin de juger et de jauger le développement de telle ou telle discipline… Bref, l’activité et la préparation sont à leur summum. Seulement, il y a des fédérations et leurs athlètes qui attendent une sorte d’intérêt pour ne pas dire autre chose de la part des responsables sportifs à savoir le ministère de tutelle.
Ce dernier tellement absorbé par l’aide qu’il doit apporter aux disciplines olympiques qu’il « oublie » les athlètes en situation de handicap. Et pourtant ce sont ces derniers qui haussent bien haut les couleurs marocaines bien plus que leurs pairs valides : les handicapés font tomber les records, raser les médailles, mater des adversaires plus huppés mais surtout plus nantis. Quand un Comité National Paralympique (CNP) verra le jour pour alléger considérablement le poids du CNOM et de toutes les charges qu’il doit assumer tout seul ? Dans ce sens, le CNOM doit appeler toutes les Fédérations à créer des comités de handisport pour faciliter et accélérer la création d’un CNP.
Nous sommes persuadés que le président du CNOM est en mesure d’adhérer à cette idée qui pourrait le libérer afin qu’il puisse avoir les coudées franches pour promouvoir le sport olympique dans sa globalité. La famille du handisport n’oubliera jamais un geste qui pourrait mettre sportifs valides et invalides sur le même pied d’égalité.
Dans cette compétition planétaire, toutes les médailles restent l’objet de convoitise de tous les participants. Ainsi, les activités sportives gagnent-elles en frénésie en tous genres : préparations, déplacements multiples, confrontations fréquentes, recherche des sparring-partners afin de juger et de jauger le développement de telle ou telle discipline… Bref, l’activité et la préparation sont à leur summum. Seulement, il y a des fédérations et leurs athlètes qui attendent une sorte d’intérêt pour ne pas dire autre chose de la part des responsables sportifs à savoir le ministère de tutelle.
Ce dernier tellement absorbé par l’aide qu’il doit apporter aux disciplines olympiques qu’il « oublie » les athlètes en situation de handicap. Et pourtant ce sont ces derniers qui haussent bien haut les couleurs marocaines bien plus que leurs pairs valides : les handicapés font tomber les records, raser les médailles, mater des adversaires plus huppés mais surtout plus nantis. Quand un Comité National Paralympique (CNP) verra le jour pour alléger considérablement le poids du CNOM et de toutes les charges qu’il doit assumer tout seul ? Dans ce sens, le CNOM doit appeler toutes les Fédérations à créer des comités de handisport pour faciliter et accélérer la création d’un CNP.
Nous sommes persuadés que le président du CNOM est en mesure d’adhérer à cette idée qui pourrait le libérer afin qu’il puisse avoir les coudées franches pour promouvoir le sport olympique dans sa globalité. La famille du handisport n’oubliera jamais un geste qui pourrait mettre sportifs valides et invalides sur le même pied d’égalité.
